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BAGULA BURUME MATIÈRE DOMINIQUE - Chez moi
Cet ouvrage dénonce les abus et violences liés aux situations socio-économique et politique qu'ont subis la plupart des pays africains, et plus particulièrement ceux d'Afrique centrale, durant près de vingt ans.
Les droits humains ont été bafoués, des guerres ont subitement surgi, faisant un grand nombre de victimes tant au niveau humain que de la nature. Ces mêmes guerres ont causé des déplacements massifs de la population.
Témoin de ces violences, l'auteur a voulu les décrire à travers la poésie pour permettre au monde entier de s'imprégner de cette situation vécue par ces pays d'Afrique.
Dominique BAGULA BURUME MATIÈRE est né en 1967 à Kaziba dans le territoire de Walungu en République démocratique du Congo. L'auteur est gradué en pédagogie appliquée, option Anglais et culture africaine, de l'Institut supérieur pédagogique de Bukavu et est licencié en « Business Administration » de l'Atlantic International University de Floride.
BONNET MAURICE - Le petit nuage de beau temps
Printemps 1961. Doria et Vick, depuis qu'ils se sont rencontrés, ne veulent plus se quitter. Mais ils sont bien jeunes et les contraintes sociales, économiques, familiales et politiques sont fortes, malgré l'environnement de progrès et d'insouciance des années 60.
Entre les études qu'ils doivent mener à bien, le risque de grossesse non désirée et le nombre de mariages précipités qui se terminent en divorces qui tournent mal, leurs familles sont inquiètes. Elles laisseront faire le temps, en espérant qu'ils finiront bien par être séparés et par s'oublier... Mais Doria et Vick ne l'entendront pas de cette oreille.
Après avoir enseigné la littérature à plusieurs générations de jeunes qui lui ont été confiés depuis 1964, Maurice Bonnet se consacre à l'écriture. Il a déjà publié une série familiale en trois volumes, et propose maintenant une fiction amoureuse, à la fois réaliste et romantique.
BILLIAU SYLVAIN - Ressentir
Voudriez-vous d’une vie sans émotions ?
Malgré ce qu’il en coûte, par celles qui parfois nous terrassent, que dire de celles qui plus souvent nous égayent et embaument nos sens ?
Pourquoi vouloir s’en protéger, se limiter ?
Des plus discrètes aux plus intenses, toutes ont leur place, car elles témoignent de ce qui nous touche, nous anime, nous conduit.
Aujourd’hui, je n’ai plus peur. J’ai choisi de vivre. De les vivre. Pleinement. De goûter leurs arômes, quels qu’ils soient. En prenant garde, cependant, à leur intensité.
En mots légers, en mots dansants, en mélodie,
Je vous invite à ressentir.