Plongez dans l'univers de nos auteurs
Guitard STEPHANE - Empirismes
Préparez vos passeports. Embarquement immédiat direction l’Himalaya.
Bien plus qu’une ascension, c’est un voyage initiatique que l’auteur livre ici. À travers cette exploration intime, cette aventure intérieure, Stéphane Guitard se met à nu, remet toute sa vie en question et finit par faire la paix avec lui-même.
MICHELS GEORGES - Vache de chemin ! - Avec moi jusqu'au bout ? Envers et contre tout ?
Amitié, rires, souffrances, tendresse et… tristesse !
Que d’émotions !
Avec Vache de Chemin, vous nous accompagnerez avec ma complice Fauvette et notre amie Lena, entre l’Aubrac et Roncevaux dans une marche parallèle au GR65, que nous évitons par prudence. Vous vivrez nos péripéties et en particulier, celles d’un quatuor de marcheurs que nous suivîmes et eûmes tout loisir d’observer et qui, en fait, nous servit de guide, sauf quand nous remontâmes pour retrouver notre pré carré et… la vie réelle.
Alors, nous suivrez-vous dans notre roman au parfum de promenade philosophique ? Pour, avant une réflexion sociétale autour du Vivant, découvrir enfin son narrateur et sa compagne, et affronter une réalité inattendue, impensable ?
C. ASTON - Le goût de la terre - Rêverie au jour le jour et souvenirs imaginaires
La parabole du rêve du papillon de Tchouang-Tseu laisse planer un doute sur les positions respectives de l’observateur et de l’observé et, par conséquent, sur la conscience que chacun peut avoir de son existence.
C’est le fil conducteur de cette promenade poétique inspirée, au gré des voyages et des rencontres, d’une vision du monde teintée d’un animisme involontaire, témoin et reflet de la fragilité de la vie et des sentiments, du temps qui s’efface et de l’absence. Absence qui se mue parfois en une présence fidèle, comme dans les peintures chinoises s’établit une harmonie subtile entre les traits esquissés et l’espace infini dont ils suggèrent les contours.
Chaque texte s’attache à évoquer une histoire. Souvent, l’homme et la nature s’y font face au fil des saisons, comme Li Bai assis devant le Mont Jingting.
Le recueil se referme sur lui-même et laisse le lecteur s’échapper après une incursion dans son univers.