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XERRI SWANN et XERRI CHRISTIAN - Le développement personnel vu par les Neurosciences
Chaque personne est incitée à s’améliorer, s’affirmer et s’accomplir dans une dynamique d’adaptation à un monde en mutation constante. Les ouvrages en développement personnel accordent une place encore trop modeste aux neurosciences. De leur côté, les neurosciences ne s’intéressent que de manière fragmentaire aux fondations cérébrales du développement personnel.
À travers cet ouvrage, les deux auteurs ont pour ambition d’articuler, avec autant de rigueur que possible, ces deux domaines de connaissances. Ils posent les prémices d’une science du changement, en postulant que la neuroplasticité cérébrale, largement sous-estimée, est le moteur du développement personnel.
LAPLANE REGIS - Regards
Léger, profond, furtif ou posé, le regard perçoit, ressent, exprime tant. Avec tendresse, humour, critique mais toujours avec amour, il photographie, décrit, inscrit dans la mémoire, les souvenirs. Là, un lieu, une rencontre, un sentiment, un instant, des mots éveillent, suscitent, subliment des émotions. Chaque regard se reflète dans celui de l’autre. Ni il ne triche, ni il ne ment, mais il raconte et dessine en toute liberté.
SÉBERT REGIS - Homo Sapiens Politicus - Vers un autre modèle de société
La jeune génération sait qu'en ce début du troisième millénaire, la situation de l'humanité est plus que critique et sa survie menacée (désastre écologique, risque de guerre, accroissement des inégalités). Mais elle semble désorientée quant à la voie qui permettrait à Homo Sapiens de s'en sortir. Oui, la préoccupation écologique est cruciale, oui les discriminations sont inacceptables, mais la résolution « par le haut » n'adviendra jamais si les questions de l'exploitation économique, de la domination institutionnelle et de l'assujettissement idéologique ne sont pas reprises à bras-le-corps et articulées dans une conception d'ensemble.
C'est ce qu'acte le présent discours dit polistique (alliant science et politique), esquissant le prochain modèle de société souhaitable : le communalisme mondial en réseau.
« Alors, il ne s'agira plus de travailler pour perdre sa vie à la gagner. Il s'agira de s'impliquer dans les activités de production pour s'émanciper subjectivement. Et il se trouve que cela n'est pas incompatible avec une création importante de plus-value, à condition d'en changer la forme dans les échanges, et de modifier le profil institutionnel des organisations ».