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GIRARD MARIO - Histoire sans fin
Julien, romancier est en panne d'écriture. Il cherche à raconter son évolution et sa métamorphose. Ses expériences, ses rencontres, font de lui l'homme qu'il est devenu.
C'est donc l'histoire d'un homme qui ne cesse de se transformer intérieurement. L'amour et le désir qu'il ressent sont le moteur de sa créativité et de son besoin de l'exprimer par l'écriture.
Cette histoire aura-t-elle réellement une fin ? La transformation intérieure est un processus sans fin et le désir de Julien de tout vivre pleinement est présent dans chaque minute de sa vie.
JOUSSE CLAUDIUS-FELIX - La quête du cimetière béni
L'humanité est en danger. ZEUS ordonne alors à DEMETER, la déesse des saisons, de faire en sorte que la Terre devienne inhabitable. Pour éviter que sa fille PERSEPHONE ne réside toute l'année dans les Enfers, elle s'exécute, à contre-coeur.
Mais une fausse rumeur arrive jusqu'aux humains : DEMETER, une immortelle, n'est plus. Sa dépouille reposerait dans son temple à NAXOS. Les rares survivants, dans un élan de dévotion se regroupent et partent en quête de son temple afin de lui rendre un dernier hommage et y laisser leur vie à leur tour.
Mais est-ce vraiment la fin ?
Retraité depuis peu et après la publication d'un recueil de pensées en 2021, Mes soliloques, Claudius Félix JOUSSE vous propose une pièce de théâtre à la façon des anciens grecs.
PERRON GISELE - 74 jours pour...
La mort m’a renversée le 10 mars 2015. Cette nuit-là, mon fils unique de 26 ans est décédé brusquement.
Que faire du temps qui persiste après le drame ? Tout ce temps qui était jadis destiné à le rendre heureux, lui qui était si vulnérable, emprisonné dans son lourd handicap. Que pouvais-je faire maintenant que je n’avais plus à veiller sur lui ?
J’ai longtemps piétiné sur le chemin du désespoir, jusqu’au jour où j’ai décidé de prendre la route avec mon mari. Le deuil m’avait écrasée, mais le voyage a nourri ce temps vidé de son sens.
74 jours pour avaler des kilomètres en voiture ou à pied dans les États du Sud-Ouest américain. 74 jours pour apprivoiser la souffrance.
C’est à coups de paysages magnifiques, de clins d’œil de mon Olivier, et paradoxalement, d’échanges tumultueux avec ma mère qui subissait son propre drame à des kilomètres de moi, que mon fardeau s’est allégé et mon bagage de souvenirs réconfortants s’est enrichi.
Je vous invite à découvrir ma véritable odyssée vers l’espoir d’un mieux-être.