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LLORCA MARIANNA-MIREILLE - Le manadier et la femme étrange
C'est l'histoire d'un amour puissant entre un manadier installé en Languedoc et une femme dotée d'un étrange pouvoir : dès qu'elle effleure quelque chose ayant appartenu à une défunte, elle se transforme en celle-ci et reprend le cours de la vie de cette dernière au moment ou il a été interrompu.
Après un coma inexplicable dans une clinique, elle prend la fuite et se retrouve dans un bois en feu. Par miracle, elle échappe à l'incendie et reprend sa course. Elle fait la rencontre d'une vieille gitane qui la prend pour sa fille. La voilà plongée dans une nouvelle personnalité. Avec sa famille gitane qui l'adopte, elle arrive au Portugal...
Ce roman mêlant fiction et amour nous entraine dans un voyage au-delà des frontières...
Ancienne journaliste culturelle, Marianna Mireille LLORCA est née le 25 juin 1944 dans un petit village du Gard à Quissac après-guerre, dans une famille d'ouvriers. Elle est la cadette de six enfants. Elle a toujours eu un don pour l'écriture. À neuf ans, elle remporte le premier prix du Gard au concours de poésies.
Aujourd'hui à la retraite, elle peut enfin se consacrer à sa passion : l'écriture.
CESALLI SEVERINE - Le déni qui tue - Ou comment penser l'impensable
En se basant sur six récits inspirés de sa pratique pédopsychiatrique suivis d’éclairages théoriques, Séverine Cesalli vous propose de plonger sans jugement dans ce monde intrapsychique où dénis et réalités internes et externes s’entrechoquent pour le meilleur et pour le pire, en abordant différents types de dénis tels que le déni climatique, l’inceste, la maladie et bien d’autres.
Pourquoi fait-on du déni ? Notre perception de la réalité est beaucoup plus influencée que nous ne le pensons par nos désirs, nos besoins et nos craintes. Le déni au sens psychanalytique est une défense de nature psychotique, un rempart utile pour permettre à la majeure partie du psychisme de continuer de fonctionner, mais au prix d’un clivage d’une partie de la réalité et d’une partie de nous-même, ce qui peut s’avérer destructeur. Dans le langage usuel, en revanche, le déni renvoie à toute une gamme de défenses variées.
Que faire face au déni ? Avec une meilleure connexion à nous-mêmes et aux autres, avec une meilleure compréhension des processus qui mènent au déni, il est possible de mieux faire face à la réalité et de trouver plus de bien-être, de souveraineté et de liberté intérieure.
De même, face aux difficultés à venir pour l’humanité, plutôt que privilégier les défenses faciles du déni et de l’évitement, une meilleure adaptation à la réalité nous aide à penser ce qui nous paraissait impensable, à nous y préparer, à améliorer notre maturité collective ainsi que notre résilience… et qui sait, peut-être même à modifier positivement la trajectoire de l’humanité ?
MOALIC JEAN-PIERRE - La mort te va si bien
Découvrir une tête humaine fichée, au bout d’une pique, plantée au fond de votre jardin par un soir d’orage, n’est pas monnaie courante, vous en conviendrez. Mais si ladite tête appartient à votre voisine, vous êtes en droit de vous poser des questions.
Et si vous n’êtes pas blanc-bleu, que vous avez quelques péchés à dissimuler aux autorités, alors là, vous avez du mouron à vous faire.
C’est ce qui arrive à Jeanne, là-bas, au fond de la baie de Douarnenez, à la lisière du Cap-Sizun.
Il lui faudra du sang-froid et la maîtrise des outils de jardinage pour arriver à faire face à cette première épreuve car bientôt, ce seront les bras de la défunte qu’elle retrouvera dans un sac-poubelle…
Est-ce que la voisine va lui être livrée en kit, un morceau chaque jour ?
Avouez qu’il y a de quoi flipper.
Tandis que l’on s’acharne ainsi à la persécuter, elle fait la rencontre d’un jeune homme fragile, à la sensibilité exacerbée, porteur, lui aussi, d’un lourd passé familial.
La jonction de ces deux destins aura-t-elle la force suffisante pour aider Jeanne à surmonter cette haine qui semble l’entourer ?