Au début du week-end de Pâques d’une année caniculaire, Georges entame une relation avec sa secrétaire Josiane et sa voisine Jacqueline déjà en couple avec Alain. Ces derniers, à l’esprit libertin, les poussent à rencontrer d’autres partenaires et échanger ensemble. La nature s’échauffe ! S’ensuivront des vacances hors normes dans une villa sur la Côte d’Azur où plusieurs couples se retrouveront pour des jeux érotiques durant lesquels tout sera permis.
Mais, à l’issue, que restera-t-il des sentiments ?

Âgée de 28 ans, Rebecca vient d’obtenir son diplôme en journalisme d’investigation à l’ESJ de Paris. Mais pour elle, ce n’est pas qu’un simple diplôme, c’est une véritable opportunité qui lui permettra peut-être de découvrir ce qui s’est réellement passé lorsqu’elle n’était encore qu’une enfant…
Il y a vingt ans, Rebecca fut victime d’un accident de voiture avec son oncle Antoine. Elle s’en était miraculeusement sortie, mais était terriblement traumatisée psychologiquement. Elle avait en effet tout vu, mais ses souvenirs restaient flous et confus. Quelle était la cause de cet accident ? Par qui ? Pourquoi ? C’est avec l’aide de l’Inspecteur de police Laurent Dupuis que Rebecca décide de mener l’enquête.
Parviendra-t-elle à faire éclater la vérité ?

Il est dit que lorsqu’une forêt pousse, elle ne fait aucun bruit. Il en est de même de nous tous qui, en aimant, anonymes et silencieusement affairés, portons le monde.
Ainsi les actes les plus anodins, ceux les moins valorisés, les plus anonymes et portés en silence devant les défis journaliers, sont là tout ce qui élève le monde. Si les actes de simple bon sens n’avaient pas lieu aux étendues de par le monde, celui-ci serait en proie d’un destin plus funeste qu’on ne lui connaît, l’obscurité actuelle. Sans quoi nous ne serions là à pousser plus avant le prélude des nobles luttes remportées de nos ancêtres, le libre rêve de voir l’homme investir sa condition fraternelle.
Car oui, tous nous portons le monde ! Il est de notre responsabilité de le rendre à la juste mesure de ce que nous sommes capables de fournir. Et nous ne saurions imaginer jusqu’à quel état de gloire l’humanité serait si chacun de nous en venait à l’entraide, la réciprocité, la reliance les premières assises nouvellement bâties sur les ruines décadentes de ce monde désormais ancien. Et quand bien même, lorsque dans le brasier de celui-ci, l’on ne peut s’exprimer convenablement, ce n’est alors que lorsqu’en exil, en recul de celui-ci que nous pouvons nous faire comprendre, d’où on puisse véritablement s’entendre, lorsque reposés sont les esprits.
Si nous sommes en conflit, je t’en prie, allons ensemble en cet exil jusqu’à renouer d’avec la paix ! Afin, qu’à nouveau, l’on puisse se voir comme frères et qu’ensemble, sur l’ancien, les ruines nous donnent de rebâtir ce monde.