Plongez dans l'univers de nos auteurs
MONGOURDIN BERNARD - Vraies (fausses...) nouvelles
Naviguez à travers l’espace et le temps dans des voyages impossibles sur le rayon d’un phare ou sur le ventre d’une baleine, dans des cheminements impossibles sous terre à la rencontre d’êtres merveilleux et d’autres plus dangereux.
FOLIO SIMON - Lucien
On comprendra ceux qui te trouvent un brin enquiquinant. Mais pour peu que l'on t'aide à résoudre tes mystères, il faut dire que c'est agréable d'être en ta compagnie. Ton amour, tes buts, tes ennemis et les formes que prennent ton esprit et ton imagination, tu veux répliquer tout ça. La volonté de paix ou de vengeance, la peur ou le bien-être, qu'importe ce qui te fait graviter à ce point aux abords des territoires de la faucheuse, tout ce que tu entreprends est pour la vie. À la gloire de sa force, de l'intensité de la lueur d'une âme et de tout ce qu'elle peut accomplir. Au fond de toi, tu sais ou tu vas et au bout de toi-même, se reflète l'image de celui qui se trouve déjà là-bas. Le savoir est une arme un adage qui est ici pris au premier degré. Tel un bouclier, ou une épée, tu te sers de la connaissance pour protéger tes arrières et tracer ton chemin. Nous verrons donc avec plaisir, quel est le prix de ta fabuleuse destination.
La nuit distribue les rêves, l'espoir pour monnaie d'échange. Tu l'as rêvé et espéré que se passerait-il, si on pouvait créer et changer son destin à notre bon vouloir ? Que peut faire quelqu'un en mesure de contrôler les moments opportuns ?
CLAUX GABRIEL - La communale
Le langage évolue, les mots changent. Ce qui était appelé « La communale » autrefois, est aujourd’hui appelé « groupe scolaire ». Il n’y a qu’à tourner le regard pour se rendre compte que les bâtiments ont eux aussi changé. Au fronton de la mairie, l’inscription – MAIRIE – ÉCOLE des GARÇONS – paraît aujourd’hui hors du temps. L’école des filles a elle aussi disparu. Pourtant, sa construction donna des sueurs froides au conseil municipal de l’époque. Aujourd’hui, filles et garçons partagent les mêmes classes, la même cour de récréation. Ce ne fut pas toujours le cas.
L’auteur s’est alors posé la question de savoir si l’enseignement et les matières enseignées avaient avec le temps, évolué comme les édifices. La réponse est là au fil des pages.
De la révolution à nos jours, qui sont ces hommes et ces femmes à qui plusieurs générations de parents ont confié non pas l’éducation mais l’instruction de leurs enfants ?