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JACQUES GERALD - Orphée, quelques saisons en enfer
Dans l’enfer d’une cité oubliée, « Orphée », un prof retraité et veuf tombe malencontreusement sur trois ados malicieuses, les « Eurydice ». Elles tentent de soutirer au vieil homme le code de sa carte bancaire par la torture mais échouent. Cet événement marque le début d’une alliance improbable. Ensemble, ils cherchent à échapper aux griffes de leur enfer urbain, portés par l’esprit combatif d’Orphée.
Attention, le destin est capricieux, et un geste d’Orphée pourrait bien les précipiter à nouveau dans les abysses de leur cité-prison.
Une histoire de résilience et de rédemption, où le passé et le présent se confrontent, et où chaque regard en arrière peut être lourd de conséquences.
KREMER PIERRE - L'aléatoire et l'intentionnel dans la création artistique
Deux concepts d'une certaine façon complémentaires sont mis en jeu dans cet ouvrage, l'aléatoire et l'intentionnel.
En matière d'art comme dans toute autre, il ne peut y avoir de création sans une intention préalable. Néanmoins, la pure et simple concrétisation d'une intention prédéfinie aboutit à cette limite qu'on appelle la médiocrité.
En revanche, l'artiste inspiré qui se heurte à ce qu'on appelle le blocage n'a d'autre recours que de s'en remettre à la contingence, aux cadeaux du hasard. Pour qu'il en fasse son profit, il est nécessaire qu'il développe une réceptivité hors normes. Dès lors, ce qui le frappe est justement ce que l'homme de la rue ne remarque jamais. Il s'ensuit cette conviction qu'il n'existe pas de choses insignifiantes.
Comme le soulignait Novalis, le monde est une forêt d'idéogrammes oubliés demandant à être déchiffrés.
Né à Liège en 1950, Pierre Kremer est artiste-peintre, diplômé de l'Académie Royale des Beaux-Arts de Liège. Après une période consacrée à la critique d'art, il entame une oeuvre de type post-surréaliste influencée par la phénoménologie. Il théorise son inspiration au cours du présent essai, lequel s'aventure dans des domaines et des impressions qui peuvent apparaitre comme paradoxaux.
FERNBACH MAXINE - Sentiments d'une vie
Littérature
Comme capture
D'un instant d'existence,
Comme peinture
D'une pure
Transcendance
De la simple réalité matérielle,
D'une condition humaine réelle.
Telle est la raison même
De l'existence de ces poèmes.
Née en 2002, Maxine FERNBACH est étudiante en troisième année de double licence Humanités-Philosophie.