Plongez dans l'univers de nos auteurs
CLAVEL FRANCOIS - Un souvenir un jour frappe à ma porte
La poésie est aujourd'hui la grande délaissée de la littérature française. La poésie tient pourtant une place de choix dans l'originalité, la vitalité et la diversité de notre culture.
Dans ce recueil, François Clavel tente de nous réconcilier avec cet art. Ses poèmes, ses petits textes d'humeur, expriment de façon savoureuse et très personnelle ce que pourrait être une poésie d'aujourd'hui, plus simple, plus parlante, plus accessible.
Ces poèmes mettent en valeur l'amour du mot, de l'image, de la nature. Certains peuvent paraitre enfantins : ils ont été écrits, en effet, à l'attention des plus jeunes. D'autres sont plus graves et font appel à un imaginaire plus profond. D'autres encore, interpellent les souffrances que recèle notre monde. D'autres, enfin, nous rappellent que la langue et le mot peuvent aussi être un jeu. Parfois à la limite du calembour, ils tentent de rendre aux mots et aux phrases une fraicheur ludique qui a toujours fait la richesse de notre langue.
NALLET ISABELLE - Le pouvoir d'un chat
À travers neuf nouvelles, Isabelle nous propose entre émotion et humour, douleur et légèreté, une galerie de portraits de félins auxquels se mêlent au fil des récits, ceux de personnages : une amie emportée par la maladie, une petite fille harcelée au collège, une vieille dame évoquant ses souvenirs… Et c’est enfin l’auteur elle-même que nous percevons à travers ces lignes, sa sensibilité, son regard à la fois meurtri et désenchanté sur notre monde auquel, tel un chat en embuscade, elle assène quelques coups de patte…
CLAUX GABRIEL - La communale
Le langage évolue, les mots changent. Ce qui était appelé « La communale » autrefois, est aujourd’hui appelé « groupe scolaire ». Il n’y a qu’à tourner le regard pour se rendre compte que les bâtiments ont eux aussi changé. Au fronton de la mairie, l’inscription – MAIRIE – ÉCOLE des GARÇONS – paraît aujourd’hui hors du temps. L’école des filles a elle aussi disparu. Pourtant, sa construction donna des sueurs froides au conseil municipal de l’époque. Aujourd’hui, filles et garçons partagent les mêmes classes, la même cour de récréation. Ce ne fut pas toujours le cas.
L’auteur s’est alors posé la question de savoir si l’enseignement et les matières enseignées avaient avec le temps, évolué comme les édifices. La réponse est là au fil des pages.
De la révolution à nos jours, qui sont ces hommes et ces femmes à qui plusieurs générations de parents ont confié non pas l’éducation mais l’instruction de leurs enfants ?