Comment faire rimer « amour » avec « toujours » ?
L’amour… L’amour de soi, l’amour des autres, l’amour fusionnel, l’amour vache, l’amour conflictuel, l’amour passionnel… quelle que soit la forme qu’il revêt dans un couple, il ne semble pas pouvoir durer au-delà d’une certaine période sans que ce soit au détriment de l’un ou des deux partenaires.
De nombreuses recettes pour conserver la flamme existent mais elles ne semblent pas influer sur les statistiques qui continuent à montrer qu’en moyenne, un couple sur deux finit par se séparer ou divorcer.
Face à une telle réalité, que pouvons-nous faire pour trouver le bon partenaire et éviter la séparation ? La réponse est simple : COMPRENDRE ! Autrement dit, prendre conscience de notre mode de fonctionnement et de celui de notre partenaire.
Grâce à une méthode simple, vous apprendrez à vous découvrir et à comprendre comment votre partenaire fonctionne dans ses relations amoureuses et pourquoi, il agit comme il agit.
Un mode d’emploi incontournable et indispensable pour trouver un amour harmonieux et durable dans la bienveillance de vous-même et de votre partenaire.

La parabole du rêve du papillon de Tchouang-Tseu laisse planer un doute sur les positions respectives de l’observateur et de l’observé et, par conséquent, sur la conscience que chacun peut avoir de son existence.
C’est le fil conducteur de cette promenade poétique inspirée, au gré des voyages et des rencontres, d’une vision du monde teintée d’un animisme involontaire, témoin et reflet de la fragilité de la vie et des sentiments, du temps qui s’efface et de l’absence. Absence qui se mue parfois en une présence fidèle, comme dans les peintures chinoises s’établit une harmonie subtile entre les traits esquissés et l’espace infini dont ils suggèrent les contours.
Chaque texte s’attache à évoquer une histoire. Souvent, l’homme et la nature s’y font face au fil des saisons, comme Li Bai assis devant le Mont Jingting.
Le recueil se referme sur lui-même et laisse le lecteur s’échapper après une incursion dans son univers.

Les crises se succèdent. Elles détruisent les organisations qui faisaient la fierté des pays libéraux lors des trente glorieuses : l’Éducation nationale, la santé et la libre circulation des hommes et des marchandises. Elles étaient perçues comme les mamelles garantes de l’abondance de biens de consommation pour un nombre toujours croissant d’individus. La progression des consciences dans l’échelle des savoirs et l’accès à la consommation de masse promettaient le bonheur et la paix : chacun devait pouvoir progresser, chacun devait pouvoir améliorer son niveau de vie sans avoir besoin de préempter les richesses de ses voisins. Cette machinerie mise en place par les démocraties libérales paraît déréglée. Pire, elle échappe de plus en plus à ses mandants, uniformisant irrésistiblement les vies des citoyens et rendant de plus en plus invivable l’environnement.
La décroissance serait inéluctable. L’Homme peut-il reprendre en main son destin afin d’échapper à cette fatalité ?