Plongez dans l'univers de nos auteurs
LEHEMBRE STEPHANE - Du kangourou au menu - La saga Douille
Venez découvrir l’Australie au travers de ce mélange de faits historiques et d’aventures romanesques.
Suivez Glenn Douille au volant de son roadtrain, un camion de plus de cinquante mètres de long Billy et sa rencontre avec un aborigène et sa destinée Walter, en état post-traumatique après son retour de la guerre qui retrouve goût à la vie avec la construction de la Great Ocean Road Chang, un immigré chinois répondant à l’appel de la ruée vers l’or mais aussi Victoria et son mal du pays.
Aventures, romance, action, histoire, préparez-vous au dépaysement avec la Saga Douille.
HANOTEAU-LAFOREST MARIE - Le Chevalier au Griffon
Qui est réellement le chevalier au griffon ?
Les bruits qui courent sur le passé de Sire Béranger de Landry ne sont-ils que pure calomnie ? Les étranges yeux verts du chevalier et les reflets roux de ses cheveux auburn, le fait qu'il soit gaucher et qu'il voie la nuit, la protection qu'il accorde aux loups et à leur meneur, sont-ils autant de signes diaboliques ? La belle Constance est-elle sous l'emprise de cet époux si séduisant ?
Nous découvrirons à la fin du récit, d'autres personnages, Sire Laurent de Fergil, ami de Sire Béranger, et Sven, l'homme du Nord réfugié sur les terres de Landry, qui vivront eux aussi, une belle histoire d'amour.
Née en 1954, Marie Hanoteau-Laforest est titulaire d'un doctorat en histoire de l'art et archéologie. Elle a également été professeure d'Espagnol dans des écoles supérieures de commerce et gestion. Mariée et mère d'une fille, elle aime les voyages, la lecture et l'équitation.
ROMANO MICHEL - De Beyrouth à Tel Aviv - Mémoires d'un raté sentimental, ou comment j'ai survécu à mes échecs
Je suis né à Beyrouth en 1946, dans une communauté juive florissante mais j’y ai poussé, aux dires de mes parents, comme une mauvaise herbe, réticente et obstinée je me suis désaltéré en captant la généreuse rosée de l’imagination et me suis grisé des mirages portés par le vent du désert et la brise maritime.
Plus tard, plus au sud, j’ai mûri dans une terre censée revigorer mes racines, mais ses germes, à mon gré, n’avaient rien de sacré et leur saveur amère s’imposa à son nectar frelaté.
Le mécréant que j’étais y trouva pourtant la grâce et la rédemption, échappant au désespoir dans lequel il se noyait : une déesse bien réelle transforma mon purgatoire en un paradis aux confins infinis