Il était une fois, là où les dieux sont aussi nombreux que les collines aux cimes brumeuses visibles à peine à l’horizon… un enfant… apatride et anonyme.
Ainsi débute l’histoire méconnue de celui qui est reconnu dans les archives de la Nouvelle-France comme Olivier Le Jeune, l’enfant esclave, le tout premier de cette lignée. Arraché aux siens à l’âge de six ans par Sir David Kirke, un négrier anglais, il connaîtra trois vies : la vie de slave boy, la vie de petit nègre et la vie d’Olivier Le Jeune, son nom de baptême.
À travers ses vies, il aura tout vu et tout entendu sur les complots et conflits des colons en rivalités féroces pour la conquête des territoires amérindiens de la Vallée du Saint-Laurent.
Olivier Le Jeune meurt en 1654 en laissant ce témoignage de faits historiques notoires.

Le confinement l’a rendue complètement dingue. Ménagère de plus de 50 ans, la voilà qui découvre sur son petit écran, un comédien qui, contre toute attente, va lui faire tourner la tête.
Il hante ses pensées jour et nuit, mais comment va-t-elle pouvoir s’en défaire ? Une seule solution : partir à sa rencontre.
Débute alors une première traque sur les réseaux sociaux suivie d’une autre dans le métro parisien qui ne se fera pas sans surprise ni rebondissements.
D’espoir en désespoir, elle confie avec humour ses pensées et ses émotions, avec l’aide bienfaitrice de sa conscience…
Mais où cette folie la mènera-t-elle ?

Ici sont retranscrits les souvenirs de liberté, de jouissance et d'insouciance conjuguant la naiveté et l'innocence d'une fratrie.
Lors des vacances d'été, une famille s'épanouit entre ciel et eau en contraste de leur vie citadine. Dans cette nature qui les a si généreusement gâtés, le bruit de l'eau rassure et guide leurs folles enjambées de rives en berges, de vallons en coteaux. Une place affectueuse est attribuée à un amandier majestueux.
Ce petit coin de montagne, proche de la ville du Borgne, offre une nature et des paysages ludiques pour des ébats estivaux. Les mômes parcourent bois et champs, plongent dans les rivières. Ils explorent et découvrent, s'étonnent et inventent. Ils n'encourent aucun risque. Dans cet éden décrit comme un cadeau de leur père, leurs amis paysans veillent sur eux. Partager leurs vies c'est découvrir une richesse, il faut seulement aller la chercher.
Mamy Célestin est née en Haiti et a vécu au Cap-Haitien jusqu'à la fin de ses études secondaires. Elle réalise sa formation médicale notamment au Québec et en France. C'est en Suisse qu'elle consacrera le reste de sa carrière à la gériatrie.
Aujourd'hui à la retraite, elle s'adonne à l'écriture et nous présente son deuxième ouvrage Avant que je n'oublie.