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Australe PLUME - L’envers d’une vie, une vie en vers
Parfois un sourire cache des larmes.
Ce recueil contient les larmes cachées de Plume Australe, ses rêveries, ses pensées, ses espoirs et désespoirs. Ainsi, elle y révèle sa vie de femme, ses rencontres, les violences subies dans sa jeunesse, la maternité, mais aussi le décès de son père.
Accepter d’avoir subi des épreuves demande du temps et du courage, peut-être même plus que les épreuves elles-mêmes. Personne ne devrait sortir de l’enfance par la brutalité.
Au fil des années et des premières amours, les mots apparaissent, s’éloignent des rêveries et même s’ils ne les relatent pas en détail, ils esquissent avec violence les douleurs du passé. La maternité amène de l’apaisement et la légèreté mêlée d’une pointe de sarcasme finit ce parcours d’une vie de poésie.
C. ASTON - Le goût de la terre - Rêverie au jour le jour et souvenirs imaginaires
La parabole du rêve du papillon de Tchouang-Tseu laisse planer un doute sur les positions respectives de l’observateur et de l’observé et, par conséquent, sur la conscience que chacun peut avoir de son existence.
C’est le fil conducteur de cette promenade poétique inspirée, au gré des voyages et des rencontres, d’une vision du monde teintée d’un animisme involontaire, témoin et reflet de la fragilité de la vie et des sentiments, du temps qui s’efface et de l’absence. Absence qui se mue parfois en une présence fidèle, comme dans les peintures chinoises s’établit une harmonie subtile entre les traits esquissés et l’espace infini dont ils suggèrent les contours.
Chaque texte s’attache à évoquer une histoire. Souvent, l’homme et la nature s’y font face au fil des saisons, comme Li Bai assis devant le Mont Jingting.
Le recueil se referme sur lui-même et laisse le lecteur s’échapper après une incursion dans son univers.
DESVINS MICHEL - STOP !
L'improbable rencontre avec cette oeuvre majeure, PO - La Transfiguration idéale, s'est transformée au fil des ans en une sublime révélation. Ce livre révèle le difficile parcours d'authentification de cette découverte. In fine, ces vingt-cinq années de recherches prouvent que Paul Gauguin était un véritable précurseur de l'abstraction en peinture. Cet immémorial représente sa vision ésotérique Enata qu'il a découverte aux Marquises. Le testament spirituel de l'artiste est enfin retrouvé.
La conceptualisation de ce Golgotha polynésien primordialiste, à l'instar des calvaires bretons, dévoile son apostasie. Finalement, cette crucifixion laisse place à l'envol de son âme à partir d'un arbre à pain. Soit, une danse de la mort paienne et chamanique. Les derniers écrits du peintre, cachés depuis des décennies, ne pouvaient pas être compris en dehors de cette oeuvre. Gauguin est mort athée et en totale harmonie avec ce sacré primordial. Cette expérience a eu le pouvoir de modifier le paradigme des croyances de l'auteur et l'ouverture d'esprit de tous ceux qui ont eu la chance et le plaisir d'approcher ce talisman.
Dans cet ouvrage autobiographique, l'auteur dévoile comment, après de longues investigations, il a réussi à déjouer les machinations des Wildenstein. Le prochain récit, «Ultime vision de Paul Gauguin à Hiva OA», saura vous apporter toutes les précisions sur qui était véritablement Paul Gauguin aux Marquises. Il corrigera les erreurs et les mensonges rabâchés à l'ennui depuis cent dix-sept ans sur ce sujet.