Plongez dans l'univers de nos auteurs
BARUT ERDEM - Le jardin éphémère
Faut-il revenir aux sources pour aller de l’avant ?
L’auteur vous entraîne dans la partie européenne de la Turquie, pays de son enfance. Pendant ce voyage, l’émergence de souvenirs le conduit au chemin de l’individuation.
Un récit dense, touchant, profondément humain, émaillé d’anecdotes, de rêves et de légendes.
VAN HAMME ELSA - Mes pensées bleues - Tome I
Jeune fille âgée de 16 ans, Charlotte commence à tenir un journal intime après qu'un événement vient bouleverser sa vie. Sans l'envie ni l'espoir de s'en sortir, elle va sombrer dans la dépression, dans un monde ou personne ne la reconnait. Malgré l'aide de ses proches et de professionnels, survivre devient un vrai défi qui lui semble insurmontable. Désespérée, la seule solution qu'elle ait trouvée pour mettre fin à sa souffrance mettrait fin aussi à son existence...
« Je vis ma vie, enfin pour ce qu'il en reste. Tout ce que je veux, c'est oublier. Oublier tout ! Je pourrais même dire, que je veux mourir. Je suis déjà une cause perdue...
Je m'ennuie. Comme c'est souvent le cas. Je m'ennuie, je n'ai envie de rien faire. Mais ne rien faire m'enferme dans mes pensées, et dans mes souvenirs. Je ne veux pas qu'on m'aide. Je suis déjà morte. Il n'y a plus rien de vivant en moi. Je suis sale, et je me décompose petit à petit. »
Elsa nait en 2001 en Picardie. Sa passion pour l'écriture arrive dès son plus jeune âge. C'est à son adolescence qu'elle va s'y intéresser plus sérieusement. Elle va alors commencer l'écriture de Mes Pensées Bleues à 15 ans. C'est seulement à l'âge de 19 ans qu'elle va vouloir le publier et un an plus tard qu'elle va y parvenir. Elle crée en parallèle l'adresse mail mes.penseesbleues@gmail.com dans le but d'aider les personnes dans le besoin et surtout pour être à leur écoute.
SÉBERT REGIS - Homo Sapiens Politicus - Vers un autre modèle de société
La jeune génération sait qu'en ce début du troisième millénaire, la situation de l'humanité est plus que critique et sa survie menacée (désastre écologique, risque de guerre, accroissement des inégalités). Mais elle semble désorientée quant à la voie qui permettrait à Homo Sapiens de s'en sortir. Oui, la préoccupation écologique est cruciale, oui les discriminations sont inacceptables, mais la résolution « par le haut » n'adviendra jamais si les questions de l'exploitation économique, de la domination institutionnelle et de l'assujettissement idéologique ne sont pas reprises à bras-le-corps et articulées dans une conception d'ensemble.
C'est ce qu'acte le présent discours dit polistique (alliant science et politique), esquissant le prochain modèle de société souhaitable : le communalisme mondial en réseau.
« Alors, il ne s'agira plus de travailler pour perdre sa vie à la gagner. Il s'agira de s'impliquer dans les activités de production pour s'émanciper subjectivement. Et il se trouve que cela n'est pas incompatible avec une création importante de plus-value, à condition d'en changer la forme dans les échanges, et de modifier le profil institutionnel des organisations ».