Plongez dans l'univers de nos auteurs
BOURDET MICHEL - La réalité invisible
Explorez les fondations de la théorie de la relativité et de la physique quantique et découvrez ce qui pourrait animer une matière aussi étrange que paradoxale. En associant le temps à la mémoire puis à la matière, cet ouvrage nous conduit par le phénomène de la complexité à l’émergence de la conscience chez l’homme. Un chemin caché par les apparences mais qui s’impose par la logique et l’observation.
Ainsi révélé, un faisceau d’indices concordants permet d’entrevoir un petit filet de lumière qui arrive de derrière le mur d’une réalité incompréhensible parce qu’invisible. Illustré de pertinentes citations de Pascal, d’Einstein, de Bergson et d’autres auteurs comme Saint Augustin ou Marc Aurèle, ce livre bouscule nos certitudes, nos convictions religieuses en particulier, et nous invite à en tirer les conséquences.
À l’origine destiné aux petits-enfants de l’auteur, ce texte original, porteur d’une composante personnelle forte, enrichit la réflexion en l’humanisant. Un essai ambitieux riche d’enseignements.
LORTIE MICHELINE - L'enfant de la promesse
Au Canada, durant la Grande Dépression, deux familles sont contraintes de s’exiler dans le Grand Nord de l’Ontario. La vie loin des leurs est difficile d’autant que la misère qui les touche les oblige à faire preuve d’un grand courage pour s’en sortir.
La foi sera la force qui assurera leur survie et leur donnera l’espoir d’une vie meilleure.
VALLAR CHRISTOPHE - Nous avions dix-sept ans
Clermont-Ferrand, 1990. Lui, c’est Christophe, bien que le temps vienne de lui sculpter dix-sept ans sur les épaules, il reste encore des choses à polir. Plus guitariste que lycéen, il vit bien au milieu du clan de sa bohème, chacun se reconnaissant dans la paresse de l’autre. Viendra pourtant le moment de quitter les habitudes du bistrot, l’odeur de l’expresso sur les vestes, et d’attraper son Bac en plein vol, puisqu’on atteint la cible toujours à la dernière seconde. D’une main, dire adieu au cercle privé de Godefroy de Bouillon, de l’autre, ouvrir les volets de son été. Là-bas, ce sont les portes de Castelsarrasin qui vont lui ouvrir l’appétit de l’oisiveté, si précieuse dans son assiette, qu’il va même en partager l’abondance avec Fifi l’ami d’enfance. Au fur et à mesure que leurs journées s’étirent et n’en finissent pas, toute la petite musique intérieure va s’en trouver peu à peu, intimement bien désaccordée. Jusqu’à elle, celle qu’on n’attendait pas, blonde comme un blé, de l’azur plein la pupille. Vanessa, c’est d’abord un prénom, et très vite la couleur des sentiments. Le trouble d’une vie face à la moitié de cet homme qu’il n’est pas encore. Et cela, quelles que soient les fièvres dont l’amour se régale, qu’il ait décidé de vous soutenir le regard ou pas, qu’il vous supplie de résister autant que lui céder du terrain. Des questions qui vont dormir debout, se planter dans les yeux, comme des chansons de Jean-Jacques Goldman.