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BELMAKADEM JELLOUL - Le sens des souffrances du confinement, et sortie de crise
Jelloul Belmakadem, né en 1953, Professeur multidisciplinaire en sciences humaines (économie, sociologie, psychologie et philosophie) a élucidé le sens des souffrances du confinement dues au coronavirus, tout en dégageant une sortie de cette crise dans laquelle se trouve toute l'humanité, afin de vivre en relation harmonieuse avec la nature. Sa méthode de raisonnement philosophique est l'analogie : ce qui est à l'extérieur est comme ce qui est à l'intérieur de l'homme, dans son monde psychique, mais cela concerne les lois, les fonctions. Sa pensée se fonde sur les lois de la nature, la vie. L'éveil de son intuition est le résultat de toute une vie d'études et de réflexion intérieure, de méditation.
Le confinement et ses souffrances sont les conséquences de la façon de vivre des humains, c'est pourquoi trois ans avant l'apparition du coronavirus, dans notre livre Le réchauffement climatique, édité pour la première fois en 2017, à la page 21, nous avons dit : avec le changement et le réchauffement climatiques, les humains vont subir des épreuves et des souffrances qui vont déferler sur la terre pour que leur coeur et leur intellect soient purifiés et éclairés pour qu'ils puissent recevoir correctement la lumière, la sagesse et l'amour de la Source de vie. Ces prévisions et pressentiments sont le résultat de notre méthode de raisonnement philosophique : l'analogie.
La nature en tant qu'être vivant, intelligent et puissant, souffre à sa manière à cause de nos agissements, nos comportements désordonnés et malfaisants. Alors les humains souffrent avec elle, mais par leur propre manière de vivre : de penser, sentir et agir. Les microbes, virus, épreuves et souffrances sont en relation avec l'état de notre monde intérieur, nos pensées et sentiments, selon la loi de l'affinité qui est une loi physique mais psychique aussi. Donc pour sortir de cette crise, les humains ont intérêt à changer leur façon de vivre.
BARBAT GILBERT - Au pied de mon arbre
Une ode à la forêt, à l'arbre : à son arbre... au bonheur d'entreprendre, à la création.
Gilbert Barbat, ouvrier aux mains d'or, nous embarque dans son voyage professionnel, d'une façon très personnelle, avec des récits dont certains fabulés et des poèmes.
Enfant, à neuf ans, il découvre, émerveillé, le plan grandeur nature d'un portail de propriété, en bois, que doit exécuter son grand-père ébéniste devant tant de beauté ressentie, lui aussi sera de la corporation.
Ici, il poursuit sa quête créatrice sur la passion de son métier, dans son contexte d'amour, de haine et de violence, en façonnant cette fois-ci, les mots : ses mots, en toute simplicité et sincérité, dans une jolie musique qui s'en dégage...
DELAVILLAT MARIE-FRANCOISE - Cités mayas, miroirs d'étoiles
Avant d'être retraitée, Marie-Françoise DELAVILLAT était psychologue et psychanalyste à l'hôpital. Elle avait l'habitude d'interroger les opinions préconçues et les énigmes des symptômes névrotiques, pour en découvrir la signification cachée. Un déclic, un questionnement semblable se sont produits devant les ruines perdues des Mayas. La monumentalité des édifices et la complexité de leur urbanisme étaient frappantes.
Quelques photographies de ces merveilleuses cités mayas enfouies dans la jungle, quelques plans d'archéologues, ont fait apparaitre la ressemblance, ou la similarité parfaite entre le plan et la constellation étoilée.
Dans ce livre, quinze plans d'agglomérations mayas ont été présentés en détail, ainsi que la constellation reproduite. Supposant que les étoiles copiées fussent celles de la fondation de la cité, ces dernières ont été considérées comme des marqueurs de la date de précession des équinoxes. Les chronologies, ainsi calculées, ont enregistré des dates extrêmement reculées, très loin de celles des universitaires, qui continuent à se fier aux écrits postcoloniaux. Un regard critique sur l'Histoire générale montre que Sahagun a été leurré et abusé, pour les datations, par ses informateurs colonisés. Pourtant, la trace précessionnelle du chemin du soleil, dans les plans, comme dans les Groupes E, indique toujours une durée invariable et absolue.
Les Mayas connaissaient les étoiles par coeur. Ils vivaient avec elles. Les illustrations du Codex Vaticanus B 3773 ont révélé également de nombreux dessins de constellations. Les étoiles étaient pour eux des dieux, les chiffres aussi étaient des dieux, ainsi que les codex, les jours, les arbres, certains animaux, la pluie, la foudre, étaient déifiés, sacralisés. La religion imprégnait le quotidien des Mayas, ce qui entraina la chute de cette civilisation, lors de la colonisation.
Actuellement à la retraite, Marie-Françoise DELAVILLAT était psychologue et psychanalyste à l'hôpital. Séduite par les Mayas pour leurs prodigieuses connaissances des étoiles et pour leur conception du temps, d'un temps véritablement cosmique, elle a souhaité partager dans cet ouvrage, ses découvertes en tant que chercheuse indépendante.