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HOPE HAYDEN - L'Ange d'Or
Jolie rousse aux yeux bleus, Félixia, seize ans, meurt lors d'un incendie dans son village... Devenue un ange, la jeune femme est choisie par l'émissaire du Paradis et se doit donc de réussir une mission, accompagnée de Casimir. Dans son voyage, elle va alors découvrir que l'instigateur du désespoir qui touche la Terre est celui qui a fait d'elle une orpheline. Félixia n'a plus qu'une seule chose en tête venger la mort tragique de sa mère. Alors que le visage de son ennemi sera reconnu, des secrets seront dévoilés, changeant le cours de son existence... Pour Félixia, l'échec n'est pas une option.
Née le 26 février 2002 à Lillebonne, Hayden Hope est étudiante en Lettres à Caen et amatrice de fantasy, romance et dystopie. Elle est passionnée par la littérature et les couleurs de son imaginaire. Elle publie aujourd'hui son premier roman.
BERGER ROGER - Berger, qu'as-tu fait de ton étoile ?
Nous sommes tous conditionnés par notre enfance. Et particulièrement si elle se déroule durant une guerre. Tout s'enchaine et marque notre destinée. Nous devenons, malgré nous, prisonniers de cette destinée sauf si nous réagissons et que nous forçons cet avenir qui nous attend. Alors, à force de décisions difficiles, d'opiniâtreté et avec beaucoup de courage, nous pouvons forcer ce destin. Il ne faut pas miser sur la chance, ni sur l'aide des autres mais aller jusqu'à son but.
Cet ouvrage montre à quel point il ne faut jamais désespérer, malgré les vicissitudes, les chagrins, les échecs. Rien ne doit nous détourner de ce que nous avons décidé. Croyons en notre bonne étoile.
Après une carrière à caractère scientifique, Roger BERGER a décidé, aujourd'hui à la retraite et en confinement forcé, d'écrire un récit autobiographique. Ce premier ouvrage raconte son enfance durant la Seconde Guerre mondiale et tout ce qui en a découlé par la suite.
« Au milieu de l'hiver, j'apprenais enfin qu'il y avait en moi un été invincible. » Albert CAMUS
ROQUEBERT BERTRAND - Le Fleuve des fleuves
c'est le Niger.
Il partage l'Afrique de l'Ouest en deux parties et le Mali en deux mondes. D'un côté des miséreux faméliques, de l'autre des bourgeois maliens, libanais ou expatriés, riches et repus. Des mystiques illuminés et des trafiquants pouilleux. Des saints hommes et des faux prophètes. Des aventuriers magnifiques et des gueux.
Vingt ans après l'indépendance et vingt ans avant la guerre qui a réinstallé le Mali dans la misère durable, une entreprise se crée et essaye d'apporter sa pierre à l'édification d'un monde moins glauque. Des barrages, des routes, des bâtiments, des rencontres étonnantes ou douloureuses. L'apprentissage du système endémique de corruption massive de l'Afrique.
Les zonards arrivaient de leurs banlieues dans d'authentiques Peugeot 404 ou 504 break ou pick up et ils s'installaient dans cet étrange caravansérail. Quand la pression de la bière sur leur vessie devenait trop forte, ils allaient lancequiner sur les murs de la concession, puis à deux, trois ou plus, s'abritaient sous une couverture miteuse pour un coït animal. Gao, vingt ans après Woodstock, c'était piss and love.
De Sévaré à Gao, les paysages sont d'une beauté hallucinante. La piste s'étire vers le nord-est dans un décor de western, parsemé de canyons et de pitons rocheux. Une paix voluptueuse transpire de cet environnement détritique, occupé par des bergers peuls et touaregs veillant sur d'immenses troupeaux de dromadaires, de moutons, de boeufs et de chèvres.
Après huit années de direction de travaux publics et de génie civil dans tous les coins de Madagascar, Bertrand Roquebert monte une entreprise à Bamako avec une équipe d'expatriés sur les ruines d'une société belge. Un démarrage difficile, des chantiers de rêve, des rencontres magiques, des drames et la descente inexorable au bout de cinq ans dans la déliquescence du système africain.
Depuis Bertrand Roquebert anime le chantier naval qu'il a créé sur la presqu'ile du Cap Ferret.