Plongez dans l'univers de nos auteurs
MERLIN MICHEL - Mémoires d'un pompier de Paris
Découvrez ce récit retraçant vingt-et-un ans de carrière à la Brigade de Sapeurs-Pompiers de Paris, de la fin des années 60 à la fin des années 80. La vie de caserne y est décrite dans les moindres détails, avec ses hauts et ses bas, et, surtout, avec les mœurs de l’époque.
Vous serez plongés dans le quotidien de cette vie de caserne, avec des interventions de toutes sortes, les aléas des examens et concours, les réprimandes et les décorations, les contacts humains, tant en centres de secours ou dans les unités administratives que durant les interventions. Vous vivrez chaque départ de secours comme une aventure.
Cet ouvrage se lit comme un roman où les années défilent et sont parsemées des différents épisodes qui constituent cette carrière.
BÉNARD ANDRE - Vendetta
Un Général corse à la retraite est profondément meurtri par l’agression dont sont victimes ses petits-enfants sur un quai de métro à Marseille entraînant la mort de son petit-fils.
La libération des agresseurs crée un électrochoc qui va le pousser à rendre justice lui-même. La limite est bien souvent trop floue entre justice et vengeance.
CESALLI SEVERINE - Le déni qui tue - Ou comment penser l'impensable
En se basant sur six récits inspirés de sa pratique pédopsychiatrique suivis d’éclairages théoriques, Séverine Cesalli vous propose de plonger sans jugement dans ce monde intrapsychique où dénis et réalités internes et externes s’entrechoquent pour le meilleur et pour le pire, en abordant différents types de dénis tels que le déni climatique, l’inceste, la maladie et bien d’autres.
Pourquoi fait-on du déni ? Notre perception de la réalité est beaucoup plus influencée que nous ne le pensons par nos désirs, nos besoins et nos craintes. Le déni au sens psychanalytique est une défense de nature psychotique, un rempart utile pour permettre à la majeure partie du psychisme de continuer de fonctionner, mais au prix d’un clivage d’une partie de la réalité et d’une partie de nous-même, ce qui peut s’avérer destructeur. Dans le langage usuel, en revanche, le déni renvoie à toute une gamme de défenses variées.
Que faire face au déni ? Avec une meilleure connexion à nous-mêmes et aux autres, avec une meilleure compréhension des processus qui mènent au déni, il est possible de mieux faire face à la réalité et de trouver plus de bien-être, de souveraineté et de liberté intérieure.
De même, face aux difficultés à venir pour l’humanité, plutôt que privilégier les défenses faciles du déni et de l’évitement, une meilleure adaptation à la réalité nous aide à penser ce qui nous paraissait impensable, à nous y préparer, à améliorer notre maturité collective ainsi que notre résilience… et qui sait, peut-être même à modifier positivement la trajectoire de l’humanité ?