Plongez dans l'univers de nos auteurs
VALLIN PAUL - Les Fables des phares de mer - Tome XVIII
Quand le crépuscule donne son congé à l'astre du jour pour l'envoyer plonger dans l'océan qui borde la terre d'Occident, ses côtes s'éclairent de mille feux pour souhaiter la bienvenue aux marins rentrant d'un long voyage.
Ces feux de vigie, ce sont les phares de mer, véritables étoiles de terre pour les navires à la recherche d'un port. Chaque phare posé sur une roche battue par le vent et les flots, a son histoire, sa légende, sa vie partagée avec ses gardiens, sentinelles postées sur l'océan pour en surveiller les humeurs, les colères, la marée, les passages, les naufrages... De leurs coupoles à éclipses de lumière, les phares adressent un langage des signes donnant le cap à suivre aux navires cherchant la passe ce langage, c'est celui que ces fables vous traduisent.
Écrivain, philosophe, fabuliste et poète, Paul VALLIN cherche à valoriser dans ses écrits le patrimoine des terroirs et le gout des belles lettres. Soldat, il a parcouru le monde et noté dans ses carnets de campagnes, les moeurs, coutumes, histoires et traditions des populations qu'il rencontrait. Sa plume, très marquée par l'Histoire, exprime la philosophie et la diversité de pensée des peuples imprégnés de leur géographie et de leur milieu social et environnemental.
LANDAIS PHILIPPE - Run, l'homme Avenir
Run vit à Belle-Île-en-Mer depuis dix ans.
Pour ce sportif, pas besoin de dopage. En s’appuyant sur ses trois piliers, physique, mental et spirituel, il bouscule les règles et pulvérise les records. Grâce au yoga, à la méditation, à une nourriture particulière et à différentes techniques, il a boosté son potentiel énergétique.
Patrick, journaliste sportif à Paris et sa femme Caroline, venus passer quelques jours de vacances sur Belle-Île, font la connaissance de Run qui les attendait. Intrigués au premier abord par cet homme insolite et hors norme, ils se lient d’amitié avec lui et l’aident à réaliser son rêve.
MONTET ADRYEN - Dix-sept ans et onze mois
Davidy, jeune poète et penseur amateur, se confie une dernière fois sur son vécu, sa situation actuelle et sa philosophie de vie.
Malgré les abandons et les idées suicidaires, il réussit à se relever grâce à Antoinette, une vieille dame qui l’accueille chez elle et le traite comme son propre fils.
Progressivement, son être ne vit plus parmi les autres, et Davidy meurt socialement, contre son gré.
La jalousie et le sentiment d’injustice blessent son ego démesuré, ce qui le conduit dans un océan de haine, où ses démons deviennent ses amis les plus fidèles. La déchéance est envoûtante, mais aussi fatale, puisque Davidy en suffoque et s'y noie petit à petit.
Son enfer intérieur l’assassine et le dévore. Dans la nuit du 26 décembre, l’adolescent s’enfonce et sombre dans les profondeurs de ses plaies béantes…