Plongez dans l'univers de nos auteurs
BENOIT VLADIMIR - Hope
Une jeune vietnamienne est retrouvée morte sur une plage magique des Antilles…
Accident ou sortilège ?
Vous découvrirez dans ce récit brisé et sous différents angles, les multiples évènements entourant sa mort. Vous plongerez dans la réalité culturelle des Caraïbes francophones, une réalité saupoudrée de poèmes et habillée par les croyances.
VAN DER STRATEN WAILLET GEORGES - Je te dis non... car je t'aime - Éduquer face aux drogues et aux dépendances
En s'appuyant sur son expérience personnelle et professionnelle en tant que directeur de communauté thérapeutique pour toxicomanes, Georges VAN DER STRATEN WAILLET nous livre ici les secrets de l'apprentissage des compétences de la vie courante, les « life skills ».
L'éducation est à la base de tout. L'éducation familiale constitue la clé de voute de toute politique radicale de prévention, non seulement pour la prévention des drogues, mais pas que. En effet, les outils de réflexions et d'actions enseignés pour la prévention des drogues peuvent être aisément transposés à beaucoup d'autres situations difficiles tant sur le plan professionnel que familial : adolescents irrespectueux, dépressifs ou violents, manipulations, abus d'alcool, rupture du dialogue, boulimie, prostitution etc.
L'éducation aux « life skills » est le fil rouge et le principal levier psychopédagogique en communauté thérapeutique, à l'école et en famille.
Fondateur et directeur de plusieurs communautés thérapeutiques pour toxicomanes, Georges van der STRATEN WAILLET a passé quarante ans de sa carrière à agir, à réfléchir et à échanger sur les pratiques concernant la prévention des assuétudes et le rétablissement des personnes toxicomanes. Il en tire des enseignements sur le rôle central de l'apprentissage des « life skills », les aptitudes essentielles pour savoir vivre ensemble.
CAMPOY LEA - La lueur du Soir
Un amour impossible ? Il a fait naitre en elle tout ce que l'amour implique, bien qu'ils ne se soient jamais aimés.
Puisque les sentiments périssent là ou les mots se succèdent, l'auteure rend en ces textes, ce qu'ils lui ont toujours volé : les émotions.
Chaque texte a une saveur, une histoire, une date qui lui est propre. Dans toutes les tourmentes que réservent les mots, les âmes sensibles trouveront en ce recueil, un refuge ou les rêves sont d'étranges milieux sereins. Comme une nécessité à la survie, La lueur du soir apparait comme une échappatoire pour retranscrire chaque larme enfouie sous le silence. D'une sincérité frappante qui ne peut être le fruit d'un mensonge, on y voit les dérives pesantes des nuits condamnées à l'écriture.
Âgée de 17 ans, Léa Campoy est en classe de terminale. Utilisant l'écriture comme échappatoire depuis sa plus tendre enfance, l'auteure a déjà écrit deux romans à la fin du collège. C'est depuis son entrée au lycée qu'elle a commencé à rédiger des poésies de la même manière qu'elle écrivait à l'âge de 10 ans. Elle vous présente son premier recueil de textes La lueur du soir dans lequel elle se raconte sur deux années (2018-2020).