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MANGANIELLO FRANCK - Le dernier vol
Écrivain à succès et pilote émérite, le Major Tonio se réengage dans l’Armée de l’air en pleine Seconde Guerre mondiale pour défendre la France. Victime d’un crash en mer, il est recueilli par des soldats de la coalition en poste sur une petite île italienne. Les souvenirs de sa vie d’avant s’entremêlent avec le parcours de ces trois jeunes soldats américains. Chaque moment propice, Tonio recueille leurs émotions et se renseigne sur leurs parcours de militaires. Il retranscrit tout dans un vieux carnet, tel le journaliste qu’il était il y a quelques années. Sans jamais dévoiler à ses hôtes qui il est vraiment, il saisit cette chance d’être encore en vie pour écrire un nouvel ouvrage en y exprimant ce qu’il pense de ce conflit et en racontant que cette dernière mission n’était finalement pas son dernier Vol.
Ce sera le titre de son roman, s’il peut l’écrire à temps…
TARDY-KENTAKA MARIE-ANDREE - Mythes grecs en contexte
Médée a-t-elle vraiment tué ses enfants ? Pourquoi Héra en veut-elle autant à Héraclès ? Les mythes proposés dans cet ouvrage vous donneront quelques réponses sur les interrogations que vous pouvez avoir sur la mythologie grecque. Le récit de chacun se fait résolument en contexte, à l’instar de Strabon d’Apamée, célèbre géographe du Ier siècle, quand il explique le mythe de la Toison d’or par une observation faite chez des orpailleurs.
À notre époque, tout le matériel archéologique est d’une grande aide : fresques, inscriptions, emplacement et orientation des palais, des temples, des tombes etc. Ces choses savantes n’excluent certainement pas de s’amuser à la manière du grand poète Homère, ni d’admirer Sappho qui ajoute une touche de délicatesse et Pindare, de philosophie le tout se déroulant autour de dame Terre et de ses fils, Messires Ciel et Eau.
CLAUX GABRIEL - La communale
Le langage évolue, les mots changent. Ce qui était appelé « La communale » autrefois, est aujourd’hui appelé « groupe scolaire ». Il n’y a qu’à tourner le regard pour se rendre compte que les bâtiments ont eux aussi changé. Au fronton de la mairie, l’inscription – MAIRIE – ÉCOLE des GARÇONS – paraît aujourd’hui hors du temps. L’école des filles a elle aussi disparu. Pourtant, sa construction donna des sueurs froides au conseil municipal de l’époque. Aujourd’hui, filles et garçons partagent les mêmes classes, la même cour de récréation. Ce ne fut pas toujours le cas.
L’auteur s’est alors posé la question de savoir si l’enseignement et les matières enseignées avaient avec le temps, évolué comme les édifices. La réponse est là au fil des pages.
De la révolution à nos jours, qui sont ces hommes et ces femmes à qui plusieurs générations de parents ont confié non pas l’éducation mais l’instruction de leurs enfants ?