Plongez dans l'univers de nos auteurs
Chrivaro - Tel un phénix
Une vie bien remplie mais chaotique.
De sa petite enfance jusqu’à aujourd’hui, Chrivaro n’a pas eu la vie facile. De ses mauvaises rencontres à ses séparations, elle nous raconte son histoire sur fond de trahisons et de violences physiques et psychologiques.
Un témoignage pour montrer à celles et ceux qui comme elle, sont victimes de violences, qu’ils ne sont pas seuls et qu’il faut continuer à se battre : la lumière est au bout du tunnel.
BARBET FREDERIC - Anthologie poétique d'un morceau de vie
J’aurais pu être un chêne et vivre plus de 100 ans.
J’aurais pu être une fleur
Et ne durer que l’espace d’un printemps
Mais je suis bien là, vivant,
En espérant retrouver la douceur
Pour longtemps.
Appréciez la lecture de ce recueil illustré en toute simplicité et découvrez ces moments de l’auteur qui lui ont insufflé un espoir nouveau.
F-C-S LUDWIG SEBASTIEN - Le rêve de Kuèhopeh - L’étreinte indigène d’un guerrier autochtone
Il est dit que lorsqu’une forêt pousse, elle ne fait aucun bruit. Il en est de même de nous tous qui, en aimant, anonymes et silencieusement affairés, portons le monde.
Ainsi les actes les plus anodins, ceux les moins valorisés, les plus anonymes et portés en silence devant les défis journaliers, sont là tout ce qui élève le monde. Si les actes de simple bon sens n’avaient pas lieu aux étendues de par le monde, celui-ci serait en proie d’un destin plus funeste qu’on ne lui connaît, l’obscurité actuelle. Sans quoi nous ne serions là à pousser plus avant le prélude des nobles luttes remportées de nos ancêtres, le libre rêve de voir l’homme investir sa condition fraternelle.
Car oui, tous nous portons le monde ! Il est de notre responsabilité de le rendre à la juste mesure de ce que nous sommes capables de fournir. Et nous ne saurions imaginer jusqu’à quel état de gloire l’humanité serait si chacun de nous en venait à l’entraide, la réciprocité, la reliance les premières assises nouvellement bâties sur les ruines décadentes de ce monde désormais ancien. Et quand bien même, lorsque dans le brasier de celui-ci, l’on ne peut s’exprimer convenablement, ce n’est alors que lorsqu’en exil, en recul de celui-ci que nous pouvons nous faire comprendre, d’où on puisse véritablement s’entendre, lorsque reposés sont les esprits.
Si nous sommes en conflit, je t’en prie, allons ensemble en cet exil jusqu’à renouer d’avec la paix ! Afin, qu’à nouveau, l’on puisse se voir comme frères et qu’ensemble, sur l’ancien, les ruines nous donnent de rebâtir ce monde.