Plongez dans l'univers de nos auteurs
SCHMITT SUZEL - L'arbre du voyageur
Tout commence en 1987. Suzel est infirmière et est envoyée en Afrique par des instances d’Églises protestantes pour rejoindre des orphelinats et aider les soignants dans leurs tâches quotidiennes.
Débutent alors de grandes aventures à la découverte de l’Afrique de l’Ouest, l’insolite, la moins connue du grand public, du Tchad à Madagascar en passant par le Cameroun, le Bénin, le Togo ou encore la Côte d’Ivoire. Ce sont d’autres cultures, croyances et façons d’appréhender la santé physique et psychique qui s’offrent à elle.
C’est la tête remplie de souvenirs que Suzel vous partage ses expériences au milieu des autochtones.
MARTIN MICHAEL - Les Chroniques d'Orrymanthe - Tome 1 : Le Médaillon d'Obsyliathe
Orrymanthe, monde de légende ou la z'humanité a été bannie et ou vivent en parfaite harmonie elfes, gobelins et autres créatures fantastiques. Mais lorsque l'ombre d'une technologie maléfique issue de l'ancien monde vient s'abattre à nouveau sur ce peuple merveilleux, un courageux gobelin va se retrouver entrainé malgré lui dans une épopée épique et devra alors retrouver les temples renfermant la clé du pouvoir de la déesse artificielle, afin de la contrer. Le monde d'Orrymanthe pourra-t-il être sauvé avant qu'il ne sombre dans le chaos ?
Plongez dans cette histoire magique qui séduira tous les publics, du jeune enfant assoiffé d'aventures à l'adulte en quête de dépaysement.
Adoubé par le légendaire roi des elfes au rang de « chevalier de la légion du rire et du divertissement », Michael Martin est un gobelin troubadour (comédien, animateur, auteur pour des humoristes en devenir et bien entendu écrivain). Bercé par des fées à sa naissance, il a depuis gardé un contact privilégié avec le peuple fantastique. Baignant dans le merveilleux, il souhaite partager son amour de l'héroique fantasy en faisant vivre à nouveau mythes et légendes à travers ses romans.
MIGUET ANNE - Ma mère, ma vive, ma louve
Ma mère en trois cris mère, vive, Louve.
L’histoire de Marie, quatre-vingt-dix bougies. Marie, les trois quarts de sa belle vie à être mère.
Anne, moi, l’aînée, son unique fille puis, trois fils. Mais autre chose aussi. Femme dans le vent de la vie. Vive, grande Vivante.
Louve, plus encore que femme, courant avec les loups. Louve à la fois fidèle et libre.
Marie la retenue, l’endurante, la passionnée, la généreuse en secret.
Peut-on parler d’une telle mère, de la chute, de la mort ? De l’immense ressac de la cérémonie des larmes et des bénédictions ? Qui enterre d’un seul tenant. De cette haute-lice d’AIMER qui fut comme en sourdine l’anagramme de toute la vie de MARIE. Et de la dame des lettres reconnue par ses pairs.
Non sa mort n’a pas clos la mémoire des muses.
Son secret d’être femme et forte, à la charnière de deux siècles, danse à la chaleur.
Entre lecteur averti, entre et sois bienvenu. Il se pourrait qu’ici ton énigme se réchauffe. Écrire est un pari que nous chanterons à plusieurs voix. Car il s’agit de vivre et non de mourir.