Pedro porte ce patronyme magnifique : Paixao, qui veut dire passion, et en effet, il est passionné et ce qu'il vous conte est passionnant.
Il vous ouvre son coeur, vous parle de ses déceptions, de ses croyances, de ses idéaux, de ses amours. Le thème de l'amour, presque toujours frustré, occupe une grande partie de ces pages. Il vous raconte comment il est tombé amoureux, s'est écrasé au sol, s'est blessé l'âme, s'est relevé dans la vie... Mais sans jamais apprendre la modération. C'est rempli d'une détresse poétique. Il couche sur papier ses questionnements, comme on se couche sur le lit pour réfléchir, faire le point, rêver, voyager dans le cosmos, regarder le monde, philosopher. Il se livre dans ses écrits comme on se dé-livre sur le divan du psychiatre. L'écriture lui est une thérapie. Son style s'apparente d'ailleurs à celui de l'écriture automatique, pleine de poésie et d'images étranges. Il dit écrire sans penser, dans un état proche de la transe.
Voici la traduction en français de cette oeuvre intemporelle, son premier livre, édité en 1992, dont « La Fiancée juive » est le titre phare. Un recueil d'histoires courtes qui, presque toutes, définissent l'auteur, comme le ferait une autobiographie.
Pedro Paixao, portugais, nait à Lisbonne en 1956. Élève extrêmement brillant, il fréquente l'Institut Supérieur d'Économie à Lisbonne durant trois ans. À Louvain et Heidelberg, il étudie la philosophie et obtient son doctorat à l'âge de 29 ans. Il enseigne la philosophie à l'Universidade Nova de Lisboa jusqu'en 2004.
L'écrivain fait ses débuts en littérature en 1992 avec « A Noiva Judia » (également traduit en hébreu). Depuis lors, il n'a jamais arrêté d'écrire et de publier avec succès à raison d'un livre par an en moyenne.

Ce qui semblait être une idylle en haute mer prend une tournure inattendue lorsqu’une croisière de rêve se transforme en lutte pour la survie. Gabrielle et Paul, un couple uni par le destin, se retrouvent face à un choix impensable : vivre ou mourir.
Dans ce roman d’aventures palpitant, un naufrage ouvre la porte à un monde où la volonté de s’accrocher à la vie est la seule bouée de sauvetage. Isolés et confrontés à l’immensité de l’océan, nos protagonistes entament un voyage intérieur.
Osez entreprendre ce périple littéraire pour éveiller vos sens et renouer avec les valeurs fondamentales de l’existence. Laissez-vous emporter par le courant salvateur de cette épopée humaine et spirituelle.

Ces choses-là arrivent tout le temps et elles n'épargnent personne ou presque. Quand elles vous tombent dessus, il y a toujours quelqu'un pour vous dire que « ça va aller », réduisant la bombe qui vient d'exploser dans votre tête et dans votre vie au plus banal pet de mouche censé se disperser très vite dans l'atmosphère.
Pour Gerda et Sophie, le pet de mouche équivaut à un tas de purin pestilentiel déversé devant leur porte. La porte de leur foyer, celui qu'elles croyaient à l'abri de tout. La tentation est grande de simplement jeter une bâche sur l'indésirable et de faire comme si de rien n'était. Mais que faire quand il y en a qui s'obstinent à l'enlever, bien contre votre gré, dès que vous avez le dos tourné ? Les deux héroines décideront finalement de prendre la fourche !
Elles suivaient des chemins parallèles qui n'auraient jamais du se croiser, sinon à l'infini. Mais le hasard se rit des évidences et des plans bien ficelés. Au pire, il les réduit à néant, au mieux il les bouscule, un peu comme un chat joue avec une souris.
De la guerre des sentiments à la découverte de soi, ce roman parle d'amour, d'amitié, de trahison, de résilience et de liberté.
Née en 1966, Celice Bauchamps est Belge, mère de deux enfants et consultante en communication.
Elle publie aujourd'hui son tout premier roman.