Alberte donna naissance à une petite Nathalie, un véritable bonheur pour elle et son entourage. Mais ce bonheur ne fut que de courte durée. Sa belle-famille a accaparé la petite au point ou elle appelle sa grand-mère paternelle « maman » et sa mère « Alberte ».
Après des examens, Nathalie est diagnostiquée épileptique. Alberte va devoir gérer la situation seule.
Entre harcèlement et violences, ce sont des sujets de société difficiles à aborder que retranscrit cette histoire.
Jennifer Lebourg est née à Cherbourg en octobre 1994. Elle est auxiliaire de vie.

Alors que l'eau de pluie commence à se raréfier sur la Terre, Véronique, jeune retraitée, achète un étang. Elle y découvrira les affres de la vie à la campagne, jusqu'au jour ou son ancien employeur la rappellera et l'invitera à devenir jury aux examens d'aptitudes professionnelles des futures auxiliaires de vie.
Elle y fera de nouvelles rencontres qui perturberont sa petite vie bien rangée, dont celle de Cédric, un jeune candidat à l'examen. Son nom de famille décliné suscitera en elle un émoi profond. Elle se souviendra tristement des derniers mots prononcés par sa mère avant de mourir.
Elle commencera alors une enquête personnelle à la recherche des non-dits, ce qui la mènera vers Claude, atteint d'un cancer en phase terminale. Mais que découvrira-t-elle ? Sa mère lui avait-elle tout avoué ?
Une belle expectative à lire à travers ce beau roman de vie.
Née près de Nantes, c'est à Cholet que Dominique Théard posera ses valises jusqu'à sa retraite.
Le mot est lâché ! C'est à cette époque de sa vie qu'elle découvrira cette nouvelle passion qu'est l'écriture et fera éditer son autobiographie. Puis suivra un premier roman ou elle expliquera et fera revivre le métier des auxiliaires de vie qu'elle a pratiqué pendant plus de trente ans. Elle présente donc ici son deuxième roman.

1774. Un jeune juge de Tours, Charles-Henry de Tourailles, est chargé par le nouveau garde des Sceaux, le marquis de Miromesnil, de mener, dix ans après, une enquête sur les attaques et les morts dues à la bête du Gévaudan et de retrouver les hommes qui ont agi à travers cette bête pour les traduire en justice.
Pour interroger les témoins, la presse de l’époque et quelques experts, il va parcourir la France, de Montsoreau à Paris, de Versailles à Monaco et s’installer en Gévaudan, à Saugues. Au fil de son enquête, il se forgera progressivement son opinion et laissera à la fin de sa vie, un manuscrit relatant ses différents entretiens et son cheminement pour arriver à sa conclusion. C’est son lointain descendant, Pierre-Alain Tourailles, qui retrouve ce manuscrit et décide de le publier en 2022…