Plongez dans l'univers de nos auteurs
BONNEL CATHERINE - La vie est un opéra
Alors âgé de 95 ans, Jean se retrouve dans un EHPAD. Le voilà propulsé dans un monde surréaliste, qui, pour lui, est synonyme d’exclusion. Cherchant à donner du sens aux quelques années qu’il lui reste à vivre, il va se lancer dans un nouveau projet pour divertir les pensionnaires. Mais il ne sera pas seul ! Il pourra compter sur Florence, sa nouvelle complice. Ce projet sera pour lui, l’ultime occasion de réflexion sur la vie.
BONONGE MABUNIA BETTY - Les otages du capitalisme
Nyota est une jeune congolaise, née du mauvais côté de la barrière. Avec ses mots, elle nous raconte sa rencontre avec la vie, une vie qui l’a fait grandir trop vite. Très tôt, elle a dû apprendre à encaisser les coups et à aimer tant qu’on peut. En effet, à neuf ans, son monde s’écroule quand son père, un journaliste engagé, disparaît. Où est-il ? Va-t-il revenir un jour ? Quand on n’a ni les moyens financiers pour commencer une recherche ni des porte-voix pour plaider sa cause, on ne peut rien faire d’autre à part attendre, une attente qui finit par transformer cet être aimé en mirage à la fois si proche et inaccessible.
Nyota peut néanmoins compter sur l’amour et le soutien de ses proches qui feront tout pour lui assurer un avenir dans ce pays.
Vous découvrirez son quotidien au fil des années, ses difficultés, ses rencontres et amitiés ou encore les drames qui jalonneront sa vie.
CLAUX GABRIEL - La communale
Le langage évolue, les mots changent. Ce qui était appelé « La communale » autrefois, est aujourd’hui appelé « groupe scolaire ». Il n’y a qu’à tourner le regard pour se rendre compte que les bâtiments ont eux aussi changé. Au fronton de la mairie, l’inscription – MAIRIE – ÉCOLE des GARÇONS – paraît aujourd’hui hors du temps. L’école des filles a elle aussi disparu. Pourtant, sa construction donna des sueurs froides au conseil municipal de l’époque. Aujourd’hui, filles et garçons partagent les mêmes classes, la même cour de récréation. Ce ne fut pas toujours le cas.
L’auteur s’est alors posé la question de savoir si l’enseignement et les matières enseignées avaient avec le temps, évolué comme les édifices. La réponse est là au fil des pages.
De la révolution à nos jours, qui sont ces hommes et ces femmes à qui plusieurs générations de parents ont confié non pas l’éducation mais l’instruction de leurs enfants ?