Mahira, jeune journaliste, doit partir à Nice pour y effectuer un reportage sur l’état d’esprit ambiant, dix ans après l’attentat du 14 juillet 2016. Elle y fait la rencontre d’Adèle et de son mari Peter. Des liens se nouent.
Le lendemain, tous les trois meurent, victimes d’un nouvel attentat terroriste sur la promenade des Anglais.
Ils se retrouvent alors dans un autre univers où un étrange personnage les accueille et leur explique les règles du jeu : pour ne pas retomber dans le néant et continuer à vivre après la mort, ils devront s’introduire dans les rêves des Terriens et influencer leurs décisions. Plus les décisions prises seront spectaculaires, et plus leur jauge énergétique sera réapprovisionnée.
Pour devancer les concurrents de ce jeu redoutable, Mahira a son idée : parvenir à s’immiscer dans les rêves des plus grands de ce monde pour les convaincre d’utiliser d’incroyables armes secrètes dont tout le monde ignore l’existence. Adèle a aussi un plan machiavélique en tête…

Aujourd’hui, nous vivons au pied d’une poudrière avec des bipèdes aux yeux pochés munis de doigts boudinés qui s’agitent mécaniquement sur le clavier.
Dans la basse-cour de cette nouvelle ménagerie on y croise des personnages hauts en couleur : @ et sa charrue électronique, « Quoi de neuf » et ses grandes oreilles électroniques, suivi de l’inévitable chroniqueur mondain aux paupières cousues, celui qui voit le monde tel qu’il devrait être, et non tel qu’il est.
À la question que reste-t-il à faire, comment continuer de rester droit et débout dans cet univers étrange, me semble venu le moment de répondre ceci : agissons de façon déterminée aux côtés « d’êtres renouvelables », nous voulons dire des personnes capables de penser par elles-mêmes, soit sans le concours des robots.
Là est ma première Pensée pour les combattants de l’Humanisme Engagé : tenez-vous loin des Hommes-Tapisseries, ceux qui confondent modestie avec effacement de soi.
Là est ma deuxième Pensée : tenez-vous loin des Hommes-Crotales, toujours prêts à mordre et à suivre les idéologies populistes de la meute.
Là est ma dernière Pensée : tenez-vous loin des Hommes-Cochons qui n’obéissent qu’à leur ventre, en oubliant que nous disposons d’un cœur, d’une âme, d’un esprit et d’une volonté.

C'est une rencontre entre deux êtres que tout sépare.
Rapprochements et rejets tissent peu à peu un lien, puis une dépendance tenace, parfois difficile à dénouer.
Apparemment, cette histoire ne daterait pas d'hier. Des réminiscences lui en révèlent le sens et la logique thérapeutique sous-jacente.
Une histoire belle, sincère et surtout inattendue.
Marie-Hélène d'YDEWALLE est poète, collagiste, musicienne et écrit son journal depuis toujours.
Elle a déjà édité des poèmes, des haikus ou encore des réflexions. Très proche de la nature, elle se réfugie régulièrement dans sa Flandre natale, mêlant ses racines à celles de ses amis les arbres.