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LLORCA MARIANNA-MIREILLE - Le manadier et la femme étrange
C'est l'histoire d'un amour puissant entre un manadier installé en Languedoc et une femme dotée d'un étrange pouvoir : dès qu'elle effleure quelque chose ayant appartenu à une défunte, elle se transforme en celle-ci et reprend le cours de la vie de cette dernière au moment ou il a été interrompu.
Après un coma inexplicable dans une clinique, elle prend la fuite et se retrouve dans un bois en feu. Par miracle, elle échappe à l'incendie et reprend sa course. Elle fait la rencontre d'une vieille gitane qui la prend pour sa fille. La voilà plongée dans une nouvelle personnalité. Avec sa famille gitane qui l'adopte, elle arrive au Portugal...
Ce roman mêlant fiction et amour nous entraine dans un voyage au-delà des frontières...
Ancienne journaliste culturelle, Marianna Mireille LLORCA est née le 25 juin 1944 dans un petit village du Gard à Quissac après-guerre, dans une famille d'ouvriers. Elle est la cadette de six enfants. Elle a toujours eu un don pour l'écriture. À neuf ans, elle remporte le premier prix du Gard au concours de poésies.
Aujourd'hui à la retraite, elle peut enfin se consacrer à sa passion : l'écriture.
DELAVILLAT MARIE-FRANCOISE - Cités mayas, miroirs d'étoiles
Avant d'être retraitée, Marie-Françoise DELAVILLAT était psychologue et psychanalyste à l'hôpital. Elle avait l'habitude d'interroger les opinions préconçues et les énigmes des symptômes névrotiques, pour en découvrir la signification cachée. Un déclic, un questionnement semblable se sont produits devant les ruines perdues des Mayas. La monumentalité des édifices et la complexité de leur urbanisme étaient frappantes.
Quelques photographies de ces merveilleuses cités mayas enfouies dans la jungle, quelques plans d'archéologues, ont fait apparaitre la ressemblance, ou la similarité parfaite entre le plan et la constellation étoilée.
Dans ce livre, quinze plans d'agglomérations mayas ont été présentés en détail, ainsi que la constellation reproduite. Supposant que les étoiles copiées fussent celles de la fondation de la cité, ces dernières ont été considérées comme des marqueurs de la date de précession des équinoxes. Les chronologies, ainsi calculées, ont enregistré des dates extrêmement reculées, très loin de celles des universitaires, qui continuent à se fier aux écrits postcoloniaux. Un regard critique sur l'Histoire générale montre que Sahagun a été leurré et abusé, pour les datations, par ses informateurs colonisés. Pourtant, la trace précessionnelle du chemin du soleil, dans les plans, comme dans les Groupes E, indique toujours une durée invariable et absolue.
Les Mayas connaissaient les étoiles par coeur. Ils vivaient avec elles. Les illustrations du Codex Vaticanus B 3773 ont révélé également de nombreux dessins de constellations. Les étoiles étaient pour eux des dieux, les chiffres aussi étaient des dieux, ainsi que les codex, les jours, les arbres, certains animaux, la pluie, la foudre, étaient déifiés, sacralisés. La religion imprégnait le quotidien des Mayas, ce qui entraina la chute de cette civilisation, lors de la colonisation.
Actuellement à la retraite, Marie-Françoise DELAVILLAT était psychologue et psychanalyste à l'hôpital. Séduite par les Mayas pour leurs prodigieuses connaissances des étoiles et pour leur conception du temps, d'un temps véritablement cosmique, elle a souhaité partager dans cet ouvrage, ses découvertes en tant que chercheuse indépendante.
LEIDINGER GERARD - Clitoyens, prenons en main notre vivre bien – En 5 propositions et une pincée de sel
Oui, troquez votre costume de citoyen, élimé sur tant de pavés battus, pour cet habit tout neuf de Clitoyen, citoyen, client de l'État, que ce livre vous propose d'ajuster aux mesures de votre Vivre Bien. Ainsi rhabillés, pour ne pas vous embarquer dans une autre utopie partisane, faites-y de suite vos premiers pas : classez par ordre de priorités décroissantes, les cinq composantes consensuelles de ce Vivre Bien : le pouvoir de subvenir à ses besoins, le pouvoir de préserver son intégrité, le pouvoir de vivre dans une nature préservée, le pouvoir de s'instruire et de s'épanouir, le pouvoir d'assurer ses interdépendances avec les autres. L'ordre des priorités que vous obtenez, est celui du projet de prospérité que vous souhaitez que la collectivité installe pour vous permettre d'y être heureux. Élaboré avec les mêmes outils, vous pouvez, enfin, le comparer avec celui des autres et, raisonnablement, en négocier les convergences indispensables pour arriver à rendre possible ce qui est nécessaire à l'avenir collectif tel que la démocratie originelle le promet.
Poussés par les incertitudes et les inconforts que le monde qui vient nous impose à nouveau brutalement, il est temps de se repenser une organisation collective en rouvrant le champ des possibles au-delà des clivages stériles qui prolongent inutilement les crispations insolubles de la démocratie confisquée d'aujourd'hui. Après s‘être leurrés en se complaisant dans l'illusion de la quête du Plus au lieu de celle du Bien, il est d'une extrême nécessité de devoir résoudre les causes de nos désillusions. S'indigner n'y suffit pas, se révolter ne prévoit rien !
Voici, donc, cinq propositions et une pincée de sel pour se prendre en main.
Gérard LEIDINGER est un citoyen ordinaire. Son parcours professionnel l'a confronté aux exigences de l'Entreprises et des Collectivités territoriales ou se sont forgés ses repères de l‘influence des organisations sur les ambitions. À l'appui d'une démocratie qu'il revisite, il propose une réponse innovante à notre insatisfaisant récurrent, dans un projet de prospérité collectif inspiré directement du Vivre Bien qu'il nous prête, à nous tous et chacun, Clitoyens d'un monde en transition.