Si le titre de cet ouvrage vous intrigue, vous interroge, vous avez le bon livre entre les mains !
Les 18 chapitres de cet ouvrage sont une invitation à plonger dans l'univers aussi merveilleux qu'inconnu de la sexualité féminine. Hommes, femmes, jeunes ou plus expérimenté(e)s (l'un n'empêchant pas l'autre, vous le constaterez), ce livre est destiné à toute personne souhaitant en connaitre un peu plus sur son plaisir ou celui de son partenaire, et plus généralement sur la sexualité féminine, dans toute sa complexité. Il n'est pas question ici de prétendre tout connaitre de la sexualité des femmes, ou de la sienne. Non, l'idée est d'apporter un témoignage sans pudeur ou presque d'une jeune femme de 24 ans, qui assume parfaitement sa sexualité, et riche des différentes expériences et rencontres qu'elle a pu faire.
Un témoignage qui se veut moderne, dans une société ou l'on considère encore le sexe comme un sujet tabou, ou l'on blâme encore, même inconsciemment, les femmes pour vouloir vivre de nouvelles expériences sexuelles, qui sortiraient de la norme. Un témoignage d'une femme d'aujourd'hui. Bienvenue dans « Autoportrait d'une femme en érection » !
Jeanne Dugrenier est née en 1997, en Essonne, de parents techniciens hospitaliers. Elle a fait des études littéraires, et est diplômée de l'université de Paris en lettres anglaises depuis 2017. Passionnée d'écriture depuis l'adolescence, Autoportrait d'une femme en érection est le premier ouvrage qu'elle publie.

«Je sens la chaleur du soleil au bas de mon dos,
elle traverse le voile de mon vêtement léger.
Je sens la terre chaude et poussiéreuse,
je la malaxe entre mes doigts crispés,
je sens sa force, son immortalité. »
Comment aller en soi, au plus près de soi, pour accueillir les sensations, les émotions qui nous traversent tout au long de notre vie ? Tout simplement, en mettant des mots dessus afin de les vivre pleinement et surtout de les partager comme une sorte de « selfie intérieur ».
Plus que jamais, dans ce monde ou les faux-semblants, soi-disant plus séduisants, prennent le pas sur l'authenticité de chacun, prenons soin de notre humanité.

En 1990, la France comptait 3 760 centenaires. En 2021, ils étaient 26 612 et les octo-nonagénaires suivaient cette augmentation, confirmant le vieillissement démographique du pays. Il s'ensuivit la multiplication de maisons de retraite et d'EHPAD et c'est d'une résidence pour seniors que l'auteure, née en 1927, en propose quelques échos.
Dans cette classe d'âge, les femmes sont plus nombreuses que les hommes et les veuves avec nombre de petits-enfants sont la majorité. Leur vie tranquille les tient éloignées des changements de civilisation que connait notre époque et il s'installe un décalage de générations fortement marqué : ignorance de techniques contemporaines, incompréhension d'un vocabulaire novlangue, conservatisme politique, vulnérabilité face à des arnaques... tout cela fait des vieilles dames des proies faciles à tromper. Ce sont les petites mésaventures réellement vécues par les victimes, que l'auteure s'est amusée à raconter, tout en changeant les noms, les lieux et les contextes pour garder l'anonymat.
Ces histoires sont volontairement très courtes pour être facilement lues par des personnes âgées et aussi par des jeunes qui les liraient oralement à des malvoyants... et pourraient s'en amuser !
Cartographe-Géographe à l'Université de Strasbourg, au CNRS et dans plusieurs pays étrangers, Sylvie Rimbert s'interroge aujourd'hui sur une retraite presque aussi longue que sa vie active, tout en pratiquant dessin et écriture. À 92 ans, elle s'est installée dans une « résidence pour seniors » en Normandie, dont elle est originaire.