Plongez dans l'univers de nos auteurs
VERNIER MATTHIEU - La légende des neuf royaumes et du livre sacré - Tome II : La revanche des loups-garous gris
Méros prend sa revanche.
Il va devenir le nouveau roi d'Angleterre.
Dans ce deuxième tome, vous ferez un retour en arrière et retrouverez la ville de Paris des années 1970.
Les Apaches à coiffes de cornes à têtes de rennes vont devoir retrouver les nouveaux rois des vampires et partir à la recherche d'un mage qui pourra libérer le dragon Dragonus, la fée et les Apaches, enfermés dans des pierres par les pouvoirs maléfiques de Méros.
Matthieu Vernier est né à Senlis. Suite au harcèlement qu'il a subi dans le domaine professionnel, ce grand fan de fantasy éprouve le besoin d'écrire. Il présente aujourd'hui son deuxième roman.
DARRORT MAX - L'éléphant dans la pièce
Roger est un lycéen médiocre et marginalisé. Las de passer inaperçu, torturé par une sensibilité bouillonnante, il envisage le pire, jusqu’au jour où il surprend Nastassia, son énigmatique camarade russe, en plein récital de piano. C’est le coup de foudre. Pour elle, il deviendra virtuose. Commence alors la mue d’un jeune homme en artiste, au prix d’un travail acharné qui confine à la folie. De haut en bas du clavier, il se métamorphose en Billy Joel, provoque Liszt en duel, invoque Lucifer et réveille en lui un alter ego terrifiant. Tout ça pour Nastassia, cette créature spectrale, évanescente, qui le hantera toute sa vie…
FRANCHI ALAIN - Le roi est mort, vive la reine - De la peur au XXIe siècle
Les crises se succèdent. Elles détruisent les organisations qui faisaient la fierté des pays libéraux lors des trente glorieuses : l’Éducation nationale, la santé et la libre circulation des hommes et des marchandises. Elles étaient perçues comme les mamelles garantes de l’abondance de biens de consommation pour un nombre toujours croissant d’individus. La progression des consciences dans l’échelle des savoirs et l’accès à la consommation de masse promettaient le bonheur et la paix : chacun devait pouvoir progresser, chacun devait pouvoir améliorer son niveau de vie sans avoir besoin de préempter les richesses de ses voisins. Cette machinerie mise en place par les démocraties libérales paraît déréglée. Pire, elle échappe de plus en plus à ses mandants, uniformisant irrésistiblement les vies des citoyens et rendant de plus en plus invivable l’environnement.
La décroissance serait inéluctable. L’Homme peut-il reprendre en main son destin afin d’échapper à cette fatalité ?