Plongez dans l'univers de nos auteurs
BOOR SHANA - Sacha
Une famille se prépare à partir en vacances. Sacha, un des enfants assis sur la moto de sa soeur, rêve déjà à celles-ci quand soudain...
À travers ce récit imaginaire, vous voyagerez dans l'esprit humain, réfléchirez à quelques questions existentielles et spirituelles et découvrirez combien la réalité nous éloigne de notre vocation première - l'amour.
Si vous êtes quelque peu curieux (ou curieuse), ce livre est pour vous !
D'origine ivoirienne, l'auteure a été adoptée par un couple français à l'âge d'un mois et demi. Cette mère de famille aujourd'hui installée au Québec est dotée d'un caractère indépendant et observateur et d'une sensibilité aiguisée par les vicissitudes de l'existence. Elle signe ici son premier ouvrage.
BUCZEK SARAH - Tout au fond de moi
Parfois les mots ne sortent pas. Parfois il est difficile d'exprimer ce que l'on ressent. L'amour est certainement la plus grande quête de l'être humain mais aussi sa plus grande fuite. C'est également la source d'un grand bonheur mais aussi celle de profondes souffrances.
Nous nous demandons souvent pourquoi nous aimons si fort, pourquoi nous vivons cet amour-là et pourquoi nous souffrons autant. Une rupture peut parfois être banale, parfois destructrice, certaines nous éteignent, mais ne sont-elles pas également là pour nous réveiller ?
Il est difficile de se libérer de ce qui nous a fait mal. Mais il est temps de le faire. Alors, je vous invite à vous libérer chers lecteurs. Certains d'entre vous se reconnaitront surement dans ce parcours initiatique.
Sarah BUCZEK est une jeune femme de 22 ans qui a commencé à écrire il y a cinq ans pour se libérer de ses maux et comprendre ce qu'elle ressentait face à l'amour. En parcourant un chemin qu'elle décrit comme initiatique, en rencontrant différentes personnes et en aimant, elle ouvre son coeur et débute la guérison de sa blessure originelle à travers cet ouvrage.
COLLINET-GRIBLIN JEAN-FRANCOIS - Léontine
« Considère, mon amour, jusqu’à quel excès tu as manqué de prévoyance. Ah ! Malheureux, tu as été trahi, et tu m’as trahie par des espérances trompeuses ».
Pourquoi fallait-il que ces premières phrases des Lettres portugaises m’accompagnent ma vie durant ? Et comment se fait-il que, dans les passions amoureuses, souvent les amantes font naufrage dans un don d’elles-mêmes inouï de générosité, quand les amants arrivent à se retenir au bord de la falaise et à se rétablir sur la terre ferme ? Et enfin, et surtout, Léontine, une de mes aïeules, grandie à la mesure de mon admiration adolescente, ne devint-elle pas dans mon imagination la religieuse des Lettres portugaises, au point que je lui ai voué une ferveur qui ne pouvait s’achever qu’en roman. Elle, amoureuse d’abord, adorée, puis délaissée, abandonnée, et alors femme bafouée, persécutée par la communauté des vertus inquisitoriales, tombée à terre, fut piétinée par tout un village, se redressa seule et, la haine vaincue et la victoire consommée, finit par entrer dans le si merveilleux esprit d’enfance qui ne croit qu’en aimer, ne voit que l’invisible et n’entend que les voix du silence.