Vous avez décidé de partir ensemble en vacances avec un cercle d'amis. Riche idée. Mais à y regarder de plus près, dans ce cercle chacun a le sien, a son budget, sa destination, sa période... Le temps de mettre tout le monde d'accord, vous renoncez, dépité !
Cercle de Citoyens, nous avons décidé de partir ensemble en Démocratie. Riche idée. Mais à y regarder de plus près, chacun y a la sienne, sa vision... Le temps de mettre tout le monde d'accord, nous renonçons ! Eh bien, non?! Dans ce contexte ubuesque d'aucuns cherchent à imposer son point de vue, vissés de part et d'autre d'un chiffre inscrit au sol : six, affirme l'un, neuf, vocifère l'autre, obstinés, sans aucune chance de s'accorder. Aucune. Stupide, non ? Et pourtant.
Force est de constater que malgré les alternances des promesses politiques de tous bords, obsessionnellement, l'Opinion se révolte contre la Réforme plus ou moins violemment selon l'insatisfaisant, toujours pour cause de désillusions ou d'incertitudes récurrentes. En dépit du conseil avisé d'Einstein qui dit qu'il est fou celui qui s'attend à obtenir des résultats différents en faisant les mêmes choses, nous, Opinions et Réformes, nous entêtons à remettre sur l'ouvrage les mêmes acceptations avec les mêmes mécanismes réchauffés, pareillement décevants. On déconne, non ?
Et si on arrêtait la folie ?
Citoyen ordinaire, après des études d'architecture, son parcours professionnel l'a confronté aux exigences des organisations. Il s‘y est forgé des outils pratiques avec lesquels il propose dans cet essai, de décortiquer l'insatisfaisant collectif et de suggérer une approche méthodologique pour le résoudre.

798. C’est le nombre de nuits au cours desquelles Thibault a été abusé par son frère. 798 nuits d’angoisses, d’horreurs et de souffrances.
Aujourd’hui encore, l’inceste reste un tabou, un tabou assumé, comme un monstre qu’on essaierait de cacher sous le lit, comme une poussière que l’on mettrait sous le tapis… Il est grand temps de briser le silence.
En partageant son vécu et son parcours vers la résilience, l’auteur souhaite alerter sur ce fléau qui détruit tant d’enfants et d’adultes en devenir.
Cette histoire, c’est la sienne, mais n’oubliez pas, elle pourrait être celle de n’importe qui.

Angelo et Albano se rencontrent en 1956 à l’École Communale de Paris. Pendant de longues années, ils partagent une belle amitié dans l’insouciance de la jeunesse, jusqu’à ce qu’un drame ne les sépare en 1966.
Quelques années plus tard, ils se retrouvent et ne souhaitent qu’une chose : que justice soit faite, quel que soit le prix à payer.
Le destin les confrontera à une situation que personne n’aurait pu imaginer. L’enquête sera longue et difficile. Réussiront-ils à s’en sortir indemnes ?