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ORÉAL JEROME - Aimer quoi qu'il arrive
Ton désir a été entendu. Tes billets sont disponibles au comptoir de la compagnie Joie. Te voici choisi pour le voyage le plus fabuleux de ta vie : destination l’Amour. L’Arche s’impatiente de ta présence. Ne t’encombre d’aucun bagage « passager du Monde », et dirige-toi sans plus attendre vers la passerelle d’embarquement. L’équipage t’accueille pour cette traversée et t’invite à découvrir l’ensemble des animations « tu n’as rien à craindre de toi-même ». Ce message est la « Réponse ». Quoi qu’il arrive, elle EST. Et pour toi, c’est maintenant…
LAMBRUNAY CLOVIS - La murène aux dents longues
1970. À Grenoble, Pierre-Ange AGOSTINI est flic à la criminelle. Charrieur, souvent ironique, ce rapatrié au style « années 50 » a su s'entourer d'une équipe efficace : son second et ses assistantes papillonnent autour de lui, donnent l'illusion d'être des bras cassés alors que tous, en réalité, sont de fins limiers à l'intuition aiguisée. Le commissaire IBANEZ les apprécie et les couvre plus que de raison. Tant qu'ils enquêtent sur des crimes ordinaires, tout roule. Mais quand, un beau matin, ils tombent sur la carcasse exsangue d'une femme qui fréquentait autant les sociétés secrètes que les lieux de perdition, c'est la panique. Le caractère occulte de l'affaire les oblige à faire appel à un cabinet de médiums ainsi qu'à un curé baroudeur. Dès lors, ils se retrouvent projetés au coeur du plus légendaire et improbable des complots...
Né en 1964 dans les Ardennes, Clovis Lambrunay écrit depuis l'âge de douze ans et aime saupoudrer d'ésotérisme ou de fantastique la plupart de ses récits. Dans ce polar, il s'en donne à coeur joie et privilégie une immersion totale dans la face cachée autant qu'inaccessible de ce monde.
(Photo : Patrick Borgia)
PIRUS JANA - Comme une odeur de soufre
Un dimanche matin de printemps, alors que tout est calme à la maison, une entité maléfique réussit à s’emparer de moi.
Ayant fait appel à ma foi après une lutte acharnée, je finis par être libérée.
Enfin, c’est ce que je pensais. Quelques jours plus tard, seule dans ma chambre, une présence étrangement familière se fait sentir…