Plongez dans l'univers de nos auteurs
BONONGE MABUNIA BETTY - Les otages du capitalisme
Nyota est une jeune congolaise, née du mauvais côté de la barrière. Avec ses mots, elle nous raconte sa rencontre avec la vie, une vie qui l’a fait grandir trop vite. Très tôt, elle a dû apprendre à encaisser les coups et à aimer tant qu’on peut. En effet, à neuf ans, son monde s’écroule quand son père, un journaliste engagé, disparaît. Où est-il ? Va-t-il revenir un jour ? Quand on n’a ni les moyens financiers pour commencer une recherche ni des porte-voix pour plaider sa cause, on ne peut rien faire d’autre à part attendre, une attente qui finit par transformer cet être aimé en mirage à la fois si proche et inaccessible.
Nyota peut néanmoins compter sur l’amour et le soutien de ses proches qui feront tout pour lui assurer un avenir dans ce pays.
Vous découvrirez son quotidien au fil des années, ses difficultés, ses rencontres et amitiés ou encore les drames qui jalonneront sa vie.
AUBÉ ALAIN - Nouvelles du Pays de Caux
Les anecdotes relatées dans ce recueil ont été glanées au fil du temps dans les fêtes communales et cérémonies familiales.
La plupart sont authentiques.
Pour garder parfois l'anonymat de certains personnages, des noms d'emprunts ont été attribués et les lieux transférés.
Certaines de ces histoires, même si elles ont un fond de vérité, sont fictives.
Si par coincidence, certains se reconnaissent, ce n'est souvent qu'un pur hasard.
Le pays de Caux est émaillé de villages et de fermes ou la vie rurale est riche, savoureuse et souvent truculente.
Chers lecteurs, je vous souhaite une bonne lecture.
Alain AUBÉ
Né en 1951, Alain AUBÉ a passé ses études primaires et secondaires dans des établissements spécialisés. Standardiste à l'hôtel de ville de Lille puis radiotéléphoniste à l'hôtel de ville de Rouen, il fut pendant près de dix-huit ans éleveur avicole familial. Aujourd'hui retraité, il s'est retiré dans un petit village du pays de Bray.
DIOGO DE ASCENCAO AMELIE - Partir pour une vie meilleure
Comme beaucoup de Lusitaniens, mon père Fernando voulait fuir la pauvreté de la campagne dans laquelle nous vivions et ne supportait plus le régime autoritaire d'Antonio de Oliveira Salazar.
Laissant derrière lui sa famille et sa ferme, il se décida à partir clandestinement pour la France, avec deux amis, début février 1965. Ils avaient deux frontières à franchir mais surtout, devaient traverser une bonne partie du territoire espagnol qui se trouvait encore sous la coupe de Franco.
Malgré les risques, Fernando fit tout pour réussir sa quête et ainsi nous offrir une vie meilleure.
Ce récit retrace notre vie, dans le contexte historique de l'époque, au Portugal, puis en France. Il relate l'exploit, le courage d'un père, mais aussi d'une mère qui, laissée seule, devrait travailler à la ferme, s'occuper de ses cinq filles, attendre et espérer qu'un beau jour, la famille serait à nouveau réunie.
Amélie DIOGO DE ASCENÇAO voit le jour dans un petit village du centre du Portugal. Dans ce premier écrit, elle retrace son histoire familiale, et plus particulièrement l'exploit de Fernando, son papa.