Plongez dans l'univers de nos auteurs
LANDREVILLE RICHARD - Les quatre mousses que terre à terre
Paul, Michel, Lucie et Jacques sont quatre amis proches de la quarantaine. Paul, 37 ans, travaille comme pilote de brousse. Michel 39 ans, est technicien en transport de cadavres. Lucie a 39 ans et est comédienne. Jacques quant à lui, est le premier à avoir franchi le cap des 40 ans, âgé de 42 ans, il travaille dans une boutique de ski. Tous les quatre vivent au jour le jour sans se soucier du futur.
Au fil des pages, vous vous verrez plongés, chers lecteurs, dans les aventures de ces quatre amis à qui la vie ne sourit pas toujours.
GALLOT BENOIT - Prenez à droite à la prochaine intersection
Julia et Thomas sont les meilleurs amis du monde, et ce depuis une vingtaine d'années. Les rires, les peines, les petits riens? ils ont tout partagé. Entre Julia, grande Amazone des temps modernes, indépendante, volcanique et sans filtre, et Thomas, romantique invétéré, consciencieux, prévenant et conciliant, c'est le mariage de la carpe et du lapin... Et pourtant, une alchimie parfaite a scellé leur amitié pour toujours.
En ce début d'année 2019, la vie leur a réservé un changement de cap, une déviation sur le chemin tracé de leurs existences. Mais qui dit déviation dit contournement, et quelques impasses ou demi-tours. Ce n'est peut-être pas si grave finalement... Avec un bon GPS, une bonne vieille carte ou tout simplement son instinct, il est toujours possible d'atteindre sa destination. Une vraie suite d'obstacles s'offre à eux.
Alors attachez votre ceinture, respirez fort et rejoignez le rallye !
BOUILLON ANNE-NATACHA - La femme balafrée
« Elle est belle votre cicatrice. »
Non, non et NON. Une cicatrice n’est pas belle. Une fleur est belle. Des jambes sont belles. Une perle, une pierre sont belles. Une pensée peut être belle, une attention aussi, un paysage, un coucher de soleil, une simple journée, mais pas une cicatrice. Une cicatrice peut sembler fine, nette, plate, mais pas belle. Ce n’est pas quelque chose qu’on met dans un vase puis qu’on hume, qu’on admire et qu’on regarde s’épanouir. Une cicatrice ça défigure. Sauf que celle-là n’est pas sur le visage. Alors on dit quoi ? Elle dénature ? Elle balafre ? Elle dé-je-ne-sais-quoi ? Ne dites jamais à une femme balafrée que sa crevasse qui rature la peau est belle.
La première empreinte est la preuve de la naissance : le nombril.
Puis au fil des années, des accidents, des maux, les balafres se multiplient sur tout le corps. Ces marques qui souffrent, qui s’incrustent, qui nous éprouvent, qui interrogent. Toutes ces cicatrices pourraient nous transformer en pantin. Mais non, encore NON. Il reste la tête, Alouette, pour écrire, décrire ses souffrances et ses souvenirs.