Plongez dans l'univers de nos auteurs
PLÉ DI MASCIO FREDERIQUE - L'étudiante rêvant de Busan
Patricia, passionnée par la Corée du Sud, souhaite devenir professeur d’histoire coréenne. Lors de sa dernière année à l’université, elle rencontre Minjun Choi. C’est le début d’une belle histoire d’amour jusqu’à ce que le jeune homme retourne à Séoul auprès de son frère mourant.
Patricia attend son retour avec impatience mais le temps se fait long. Ayant peu de nouvelles, elle décide de se rendre à Séoul. Comment sera-t-elle accueillie par son bien-aimé et sa famille ?
CESALLI SEVERINE - Le déni qui tue - Ou comment penser l'impensable
En se basant sur six récits inspirés de sa pratique pédopsychiatrique suivis d’éclairages théoriques, Séverine Cesalli vous propose de plonger sans jugement dans ce monde intrapsychique où dénis et réalités internes et externes s’entrechoquent pour le meilleur et pour le pire, en abordant différents types de dénis tels que le déni climatique, l’inceste, la maladie et bien d’autres.
Pourquoi fait-on du déni ? Notre perception de la réalité est beaucoup plus influencée que nous ne le pensons par nos désirs, nos besoins et nos craintes. Le déni au sens psychanalytique est une défense de nature psychotique, un rempart utile pour permettre à la majeure partie du psychisme de continuer de fonctionner, mais au prix d’un clivage d’une partie de la réalité et d’une partie de nous-même, ce qui peut s’avérer destructeur. Dans le langage usuel, en revanche, le déni renvoie à toute une gamme de défenses variées.
Que faire face au déni ? Avec une meilleure connexion à nous-mêmes et aux autres, avec une meilleure compréhension des processus qui mènent au déni, il est possible de mieux faire face à la réalité et de trouver plus de bien-être, de souveraineté et de liberté intérieure.
De même, face aux difficultés à venir pour l’humanité, plutôt que privilégier les défenses faciles du déni et de l’évitement, une meilleure adaptation à la réalité nous aide à penser ce qui nous paraissait impensable, à nous y préparer, à améliorer notre maturité collective ainsi que notre résilience… et qui sait, peut-être même à modifier positivement la trajectoire de l’humanité ?
AURI SAM - Jusqu'où irons-nous ?
Aujourd’hui, le chacun pour soi prédomine sur l’état d’esprit collectif. La bonne foi a laissé place à la mauvaise foi et ce n’est pas sans conséquences.
Il n’y a pas de fatalité à échouer dans la pratique de la bonne foi. Au contraire, il s’agit de mieux appréhender ses erreurs pour les contrôler dans le but de s’améliorer.
Ici, Sam AURI tire la sonnette d’alarme.
En abordant différentes situations, il propose quelques esquisses de solutions dans l’espoir que le plus grand nombre d’entre nous se saisisse de ce sujet dans le but de redonner à notre pays un nouvel élan d’humanité et soit un exemple pour les autres nations.