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FRANÇAIN ANOUK et FERRA-FRANÇAIN CHLOE - Notre histoire elle s'écrit en quelques maux - Dialogue entre une mère et sa fille
Chaque histoire est différente, avec son lot de joies et de peines...
Cette histoire est la nôtre, ponctuée d'amour, d'une bataille juridique, de drames, de secrets et de non-dits.
Je suis Anouk, femme et mère dont les choix de vie ont influé sur celle de sa fille.
Je suis Chloé, fille d'une mère et de trois pères.
Nous vous racontons ici notre histoire.
Une ode à la vie et un hommage au monde de l'enfance.
VALLIN PAUL - Les Fables de l'art - Tome XXII
L’écriture donne, à celui qui tient la plume, le sentiment d’être immortel. Avec la littérature des mythes et légendes, c’est l’immortalité de l’Esprit humain qui, tel un flambeau olympique, est transmise de génération en génération par la magie de la mémoire du passé. L’écriture triomphe ainsi du temps et de l’espace, même si l’art du fabuliste consiste à faire du vécu avec du vraisemblable tout en s’aidant de l’histoire et de la géographie.
« Chaque grain de matière est une colonne d’âmes » écrivait Leibniz. Ce philosophe mathématicien pensait que l’esprit humain se composait d’atomes de spiritualité. Chaque récit mythique est une combinaison de nomades construisant la pensée qui, à un moment donné de l’évolution, a fait le lien entre le corps et l’âme de l’Être pensant. Fantôme du passé, le mythe est un fragment des vérités premières effacées par le temps, la science et le progrès.
Toutefois, ce n’est pas parce que le passé raconté par les mythes est vieux alors que l’avenir de l’Homme informatisé et robotisé paraît jeune, qu’il faut penser le futur sans référence en s’éloignant toujours plus du passé : notre « mythe du Progrès » est-il encore une civilisation ?
Ne souhaitant pas laisser la mémoire des origines de la pensée humaine disparaître dans l’agitation frénétique de la modernité, Paul Vallin sauve du naufrage les récits sacrés qui s’efforçaient d’expliquer le monde en s’interrogeant sur le sens de la Vie. Son recueil de mémoires nous offre un voyage dans la galaxie des songes et de la philosophie ayant forgé notre humanité et ses arts.
DALSACE ROBERT - Guerre 14-18 - Journal d'un médecin auxiliaire
Cet ouvrage retrace le quotidien d'un combattant français pendant la première guerre mondiale. L'auteur, Robert Dalsace (1897-1996), fut mobilisé en août 1916, alors qu'il n'avait pas encore
19 ans. Étudiant en médecine, il fut donc dirigé vers une formation de médecin auxiliaire. Il assuma cette fonction jusqu'à sa démobilisation en juillet 1919. Le journal qu'il a tenu couvre toute cette période. Pour lui, le vrai combat commença en avril 1918, dans la Somme, lorsqu'il se trouva pour la première fois sous le feu de l'ennemi.
Il nous décrit, dans un style plein de sensibilité, la dureté des combats, les pertes innombrables de vies humaines, ou encore l'attente impatiente de la relève. Il nous fait partager son désarroi face aux ravages persistants de l'ypérite, ce gaz pernicieux utilisé par les Allemands.
Quand le conflit toucha à sa fin, l'auteur découvrit la nature dévastée, les maisons endommagées, les infrastructures détruites par l'ennemi en fuite, et surtout les mines et les dispositifs prêts à exploser sans avertir... Le journal s'achève sur l'occupation en Allemagne, avec une analyse intéressante de l'accueil de l'armée française par les autochtones.
Robert Dalsace fut décoré de la Croix de guerre pour son courage, son dévouement et ses grandes qualités professionnelles.