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FASCIAUX SAUTEREAU CHRISTINE - Je ne souffre plus Maman, écris !
Louisa est partie le samedi 8 août 2009 des suites d’un cancer du rein. Elle n’avait que six ans.
Dans ce journal intime, c’est une maman qui se confie, une maman qui se livre à cœur ouvert, une maman qui témoigne sur la vie avec sa fille décédée qui malgré tout, reste à ses côtés pour la guider.
Un message d’amour et d’espérance pour tous.
BUCZEK SARAH - Tout au fond de moi
Parfois les mots ne sortent pas. Parfois il est difficile d'exprimer ce que l'on ressent. L'amour est certainement la plus grande quête de l'être humain mais aussi sa plus grande fuite. C'est également la source d'un grand bonheur mais aussi celle de profondes souffrances.
Nous nous demandons souvent pourquoi nous aimons si fort, pourquoi nous vivons cet amour-là et pourquoi nous souffrons autant. Une rupture peut parfois être banale, parfois destructrice, certaines nous éteignent, mais ne sont-elles pas également là pour nous réveiller ?
Il est difficile de se libérer de ce qui nous a fait mal. Mais il est temps de le faire. Alors, je vous invite à vous libérer chers lecteurs. Certains d'entre vous se reconnaitront surement dans ce parcours initiatique.
Sarah BUCZEK est une jeune femme de 22 ans qui a commencé à écrire il y a cinq ans pour se libérer de ses maux et comprendre ce qu'elle ressentait face à l'amour. En parcourant un chemin qu'elle décrit comme initiatique, en rencontrant différentes personnes et en aimant, elle ouvre son coeur et débute la guérison de sa blessure originelle à travers cet ouvrage.
MIGUET ANNE - Ma mère, ma vive, ma louve
Ma mère en trois cris mère, vive, Louve.
L’histoire de Marie, quatre-vingt-dix bougies. Marie, les trois quarts de sa belle vie à être mère.
Anne, moi, l’aînée, son unique fille puis, trois fils. Mais autre chose aussi. Femme dans le vent de la vie. Vive, grande Vivante.
Louve, plus encore que femme, courant avec les loups. Louve à la fois fidèle et libre.
Marie la retenue, l’endurante, la passionnée, la généreuse en secret.
Peut-on parler d’une telle mère, de la chute, de la mort ? De l’immense ressac de la cérémonie des larmes et des bénédictions ? Qui enterre d’un seul tenant. De cette haute-lice d’AIMER qui fut comme en sourdine l’anagramme de toute la vie de MARIE. Et de la dame des lettres reconnue par ses pairs.
Non sa mort n’a pas clos la mémoire des muses.
Son secret d’être femme et forte, à la charnière de deux siècles, danse à la chaleur.
Entre lecteur averti, entre et sois bienvenu. Il se pourrait qu’ici ton énigme se réchauffe. Écrire est un pari que nous chanterons à plusieurs voix. Car il s’agit de vivre et non de mourir.