Plongez dans l'univers de nos auteurs
BASRI SARAH - Allez-y doucement
Thalie vit dans la brume et son énergie diminue.
Est-ce réellement possible de rencontrer une partie de son âme dans ce lieu où la mort rôde, la mort règne ?
Syvadjy, un homme, un mystère, un lien inexpliqué.
La fin attend, patiemment, doucement, chacun d’entre nous. À tous, bienvenue dans mon monde.
FOUILHOUX CAROLINE - Mes singulières (vingt-sept)
Ce recueil se compose de portraits et d'instants brefs et épisodiques, évoquant le trouble : celui du désir, de la féminité, des autres, de l'amour, de l'amitié et de la famille. Il se traduit comme l'expression d'une quête de liberté ineffable, remède à une mélancolie qui demeure.
C'est aussi le questionnement du manque, de l'abandon, de l'absence de la solitude profonde, de l'enfance, de l'adolescence et du monde dans lequel je m'apprête à entrer.
J'ai choisi vingt-sept textes qui retracent mes vingt-sept années vécues. Certains d'entre eux sont tirés de carnets que j'ai volontairement réouverts.
Je les ai réécrits mais j'ai tenu à laisser l'authenticité de leur jeunesse. Témoins du temps qui avance et qui nous transforme.
Je vous laisse découvrir, chers lecteurs, cette ode, aux visages, aux instants et aux gens qui ont rendu le vivant possible.
À elles, à eux, Mes Singulières.
Caroline FOUILHOUX est une comédienne de vingt-sept ans. Originaire de Besançon, elle suit une formation aux Cours Florent de 2012 à 2015. Elle intègre ensuite L'École du Nord. Elle décroche de nombreux rôles au théâtre, notamment en 2018 dans la pièce Ben oui mais enfin bon de Rémi DE VOS, mise en scène par Christophe RAUCK et jouée au Théâtre du Nord. Elle présente aujourd'hui son premier recueil incluant des textes poétiques et des courtes nouvelles épisodiques.
BELMAKADEM JELLOUL - Le sens des souffrances du confinement, et sortie de crise
Jelloul Belmakadem, né en 1953, Professeur multidisciplinaire en sciences humaines (économie, sociologie, psychologie et philosophie) a élucidé le sens des souffrances du confinement dues au coronavirus, tout en dégageant une sortie de cette crise dans laquelle se trouve toute l'humanité, afin de vivre en relation harmonieuse avec la nature. Sa méthode de raisonnement philosophique est l'analogie : ce qui est à l'extérieur est comme ce qui est à l'intérieur de l'homme, dans son monde psychique, mais cela concerne les lois, les fonctions. Sa pensée se fonde sur les lois de la nature, la vie. L'éveil de son intuition est le résultat de toute une vie d'études et de réflexion intérieure, de méditation.
Le confinement et ses souffrances sont les conséquences de la façon de vivre des humains, c'est pourquoi trois ans avant l'apparition du coronavirus, dans notre livre Le réchauffement climatique, édité pour la première fois en 2017, à la page 21, nous avons dit : avec le changement et le réchauffement climatiques, les humains vont subir des épreuves et des souffrances qui vont déferler sur la terre pour que leur coeur et leur intellect soient purifiés et éclairés pour qu'ils puissent recevoir correctement la lumière, la sagesse et l'amour de la Source de vie. Ces prévisions et pressentiments sont le résultat de notre méthode de raisonnement philosophique : l'analogie.
La nature en tant qu'être vivant, intelligent et puissant, souffre à sa manière à cause de nos agissements, nos comportements désordonnés et malfaisants. Alors les humains souffrent avec elle, mais par leur propre manière de vivre : de penser, sentir et agir. Les microbes, virus, épreuves et souffrances sont en relation avec l'état de notre monde intérieur, nos pensées et sentiments, selon la loi de l'affinité qui est une loi physique mais psychique aussi. Donc pour sortir de cette crise, les humains ont intérêt à changer leur façon de vivre.