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F-C-S LUDWIG SEBASTIEN - Le rêve de Kuèhopeh - L’étreinte indigène d’un guerrier autochtone
Il est dit que lorsqu’une forêt pousse, elle ne fait aucun bruit. Il en est de même de nous tous qui, en aimant, anonymes et silencieusement affairés, portons le monde.
Ainsi les actes les plus anodins, ceux les moins valorisés, les plus anonymes et portés en silence devant les défis journaliers, sont là tout ce qui élève le monde. Si les actes de simple bon sens n’avaient pas lieu aux étendues de par le monde, celui-ci serait en proie d’un destin plus funeste qu’on ne lui connaît, l’obscurité actuelle. Sans quoi nous ne serions là à pousser plus avant le prélude des nobles luttes remportées de nos ancêtres, le libre rêve de voir l’homme investir sa condition fraternelle.
Car oui, tous nous portons le monde ! Il est de notre responsabilité de le rendre à la juste mesure de ce que nous sommes capables de fournir. Et nous ne saurions imaginer jusqu’à quel état de gloire l’humanité serait si chacun de nous en venait à l’entraide, la réciprocité, la reliance les premières assises nouvellement bâties sur les ruines décadentes de ce monde désormais ancien. Et quand bien même, lorsque dans le brasier de celui-ci, l’on ne peut s’exprimer convenablement, ce n’est alors que lorsqu’en exil, en recul de celui-ci que nous pouvons nous faire comprendre, d’où on puisse véritablement s’entendre, lorsque reposés sont les esprits.
Si nous sommes en conflit, je t’en prie, allons ensemble en cet exil jusqu’à renouer d’avec la paix ! Afin, qu’à nouveau, l’on puisse se voir comme frères et qu’ensemble, sur l’ancien, les ruines nous donnent de rebâtir ce monde.
BUCZEK SARAH - Tout au fond de moi
Parfois les mots ne sortent pas. Parfois il est difficile d'exprimer ce que l'on ressent. L'amour est certainement la plus grande quête de l'être humain mais aussi sa plus grande fuite. C'est également la source d'un grand bonheur mais aussi celle de profondes souffrances.
Nous nous demandons souvent pourquoi nous aimons si fort, pourquoi nous vivons cet amour-là et pourquoi nous souffrons autant. Une rupture peut parfois être banale, parfois destructrice, certaines nous éteignent, mais ne sont-elles pas également là pour nous réveiller ?
Il est difficile de se libérer de ce qui nous a fait mal. Mais il est temps de le faire. Alors, je vous invite à vous libérer chers lecteurs. Certains d'entre vous se reconnaitront surement dans ce parcours initiatique.
Sarah BUCZEK est une jeune femme de 22 ans qui a commencé à écrire il y a cinq ans pour se libérer de ses maux et comprendre ce qu'elle ressentait face à l'amour. En parcourant un chemin qu'elle décrit comme initiatique, en rencontrant différentes personnes et en aimant, elle ouvre son coeur et débute la guérison de sa blessure originelle à travers cet ouvrage.
LE PRUNENNEC YVES - Notre Dame de l'Ô
Au sortir des parvis, Jos traverse la place pour rejoindre le tournebride Le Goff. Là, seul maitre des lieux, il découvre un proche. Un cousin, Alan Quermener, méconnaissable pour Jos, après ses trente années d'absence.
Alan s'offre à Jos pour le conduire, malgré la pluie et le vent, au manoir de Kernevez. Esseulé depuis un divorce et accaparé par ses activités, Jos est devenu solitaire il accepte. Son objectif, sous la protection de Notre-Dame de l'ô, est de redonner vie à Kerfily et à ses terres. Là, les choses se compliquent. Son passé le harcèle et l'existence d'un frère cadet, médecin urgentiste, intervenant au Moyen-Orient, perturbe largement son projet. À l'aide de deux confrères de vie, il mènera toutefois à bien son projet. Puis un jour, à la barre de son voilier le Dilorc'k, un bijou que son père lui a offert, il disparaitra en mer...
Formé chez les Jésuites, l'auteur abandonne ses études en terminale. Il croise, lors d'une vente des écrivains bretons, à l'hôtel Rothschild, Michelle Lorraine, jeune femme écrivaine. Ils deviennent amis. Ayant eu connaissance de ses poèmes en prose, écrits sur des jazzmans, elle lui reconnait un certain don pour l'écriture. Elle propose de l'aider, il accepte. Mais, il est requis pour l'Algérie. Il lui promet de s'essayer à la rédaction d'un roman, dès son retour. Hélas, Michelle, entre-temps, a rompu avec la vie. Soixante ans plus tard, l'auteur produit cet ouvrage, objet de sa promesse.