Éditions Les Trois Colonnes, maison d'édition
          Blog
APERÇU

Plongez dans l'univers de nos auteurs
CHALA MESSAOUD - J'avais six ans le 1er Novembre 1954

CHALA MESSAOUD - J'avais six ans le 1er Novembre 1954

Témoin de terribles événements, l'auteur, un jeune Kabyle âgé de six ans le 1er novembre 1954, révèle les atrocités d'une guerre oubliée. Ainsi ce livre dénonce-t-il l'instauration du Code de l'indigénat dès l'occupation de l'Algérie par la France en 1830. Ce Code était même une forme déguisée de l'esclavage, vu que les indigènes n'avaient pas les mêmes droits que les colons !
Ce roman jette aussi l'opprobre sur la politique du gouvernement (socialiste) en place au début du conflit - Pouvoirs spéciaux accordés à l'armée française en février 1956, institutionnalisation de la torture à la suite de la bataille d'Alger en 1957... - et condamne l'atrocité des fellagas vis-à-vis des indigènes instruits et favorables aux Français...
Enfin, ce récit vilipende la dictature mise en place par le FLN dès le début de l'indépendance, et le racisme brulant de ce parti unique, à l'encontre de la communauté berbère, qui était la seule à s'opposer à leur politique...
Un ouvrage bouleversant, lié aux heures les plus sombres de l'Histoire.
Fils d'un instituteur de l'école publique de l'Algérie française, l'auteur commence son cursus scolaire en Grande Kabylie, et l'achèvera à l'université de Censier, à Paris.
Professeur certifié - hors classe - de lettres modernes, il raconte ici les moments forts de la guerre d'Algérie, qu'il a vécus, enfant...

CESALLI SEVERINE - Le déni qui tue - Ou comment penser l'impensable

CESALLI SEVERINE - Le déni qui tue - Ou comment penser l'impensable

En se basant sur six récits inspirés de sa pratique pédopsychiatrique suivis d’éclairages théoriques, Séverine Cesalli vous propose de plonger sans jugement dans ce monde intrapsychique où dénis et réalités internes et externes s’entrechoquent pour le meilleur et pour le pire, en abordant différents types de dénis tels que le déni climatique, l’inceste, la maladie et bien d’autres.
Pourquoi fait-on du déni ? Notre perception de la réalité est beaucoup plus influencée que nous ne le pensons par nos désirs, nos besoins et nos craintes. Le déni au sens psychanalytique est une défense de nature psychotique, un rempart utile pour permettre à la majeure partie du psychisme de continuer de fonctionner, mais au prix d’un clivage d’une partie de la réalité et d’une partie de nous-même, ce qui peut s’avérer destructeur. Dans le langage usuel, en revanche, le déni renvoie à toute une gamme de défenses variées.
Que faire face au déni ? Avec une meilleure connexion à nous-mêmes et aux autres, avec une meilleure compréhension des processus qui mènent au déni, il est possible de mieux faire face à la réalité et de trouver plus de bien-être, de souveraineté et de liberté intérieure.
De même, face aux difficultés à venir pour l’humanité, plutôt que privilégier les défenses faciles du déni et de l’évitement, une meilleure adaptation à la réalité nous aide à penser ce qui nous paraissait impensable, à nous y préparer, à améliorer notre maturité collective ainsi que notre résilience… et qui sait, peut-être même à modifier positivement la trajectoire de l’humanité ?

LAPLANE REGIS - De simples paroles

LAPLANE REGIS - De simples paroles

Chaque instant s’imprime en nous, nous marque et nous construit. Les rencontres, les lieux, les paroles et les silences nous nourrissent.
Les mots émergent, tantôt spontanément, tantôt à l’issue d’événements marquants ou d’un temps de réflexion. Ils se couchent sur le papier, se livrent avec sincérité et simplicité, dans l’espoir d’un partage avec le lecteur.
Ces textes, empreints de vérité et d’intimité, libres et variés, offrent humour, amour, émotions, sentiments, certitudes et doutes. Ils sont le reflet d’une histoire personnelle, de souvenirs, d’expériences vécues, du présent et du temps qui reste à vivre.
Chaque poème est une invitation à la découverte, à cueillir selon l’envie, l’humeur et le moment.

KÜNZI GILBERT - Le chômage, ça me travaille ! Les Soliloques de Gédéon Michu, typographe au chômage
TÉMOIGNAGES

Le chômage, ça me travaille ! Les Soliloques de Gédéon Michu, typographe au chômage
KÜNZI GILBERT

Pour avoir travaillé (il y a longtemps !) plusieurs années dans les milieux de la presse et de l’imprimerie, je mesure très bien à quel point la rigueur et l’efficacité dans l’application des processus de travail des éditions Les 3 Colonnes ont contribué à la réussite de la fabrication de mon ouvrage. Je me suis très vite senti rassuré et enchanté de collaborer avec vous et votre grand professionnalisme. Pour avoir mené à bien avec talent cette opération essentielle, je vous réitère ma pleine satisfaction et vous adresse mes sincères remerciements, et tout particulièrement à Élodie, qui m’a accompagné dans la fabrication de mon ouvrage.
Je me réjouis d’ores et déjà d’en voir prochainement le résultat tangible.

CELESTIN MAMY - Avant que je n'oublie
TÉMOIGNAGES

Avant que je n'oublie
CELESTIN MAMY

Avant que je n’oublie et Mon identité, un tricot, sont mes deux premiers livres.
Je n’aurais pu finaliser ce projet sans le soutien des équipes du service communication et du service fabrication des Éditions Trois colonnes. Plus que de la satisfaction, c’est un vrai bonheur pour un nouvel auteur comme moi, de trouver chez elles : compréhension, encouragement, patience et disponibilité, en plus du professionnalisme de leurs équipes. Cela ne peut qu’inciter à garder confiance et continuer à écrire.
Mamy Célestin

Coté Média

"Une maison d'édition proche de ses auteurs et au plus près des lecteurs"

Notre espace presse

Notre maison d'édition s'est donné pour objectif de maximiser la visibilité de votre ouvrage, grâce à la promotion et à nos relations média, notre maison d'édition s'engage à une promotion ciblée auprès de notre vaste liste de journalistes de tout horizon.
Venez découvrir notre espace dédié à nos retours de presses, chroniques, articles, podcast.