Plongez dans l'univers de nos auteurs
HOEUSLER PHILIPPE - Petit traité des vertus de la différence
Notre capacité d'atteindre l'unité dans la diversité constituera la beauté et le défi de notre civilisation.
Gandhi
Si l'horizon de quelques-uns est grillagé, si le manichéisme leur convient, si leurs sens demeurent calfeutrés, si la peur de la différence leur fait craindre de perdre leur identité, ils se condamnent au mal-être et condamnent à moyen terme l'humanité.
Si votre avenir et celui de vos enfants vous préoccupent au point d'accepter un réel changement global, et d'y participer, alors l'écrivain vous invite à vous engager, à vivre différemment, à bouleverser des idées reçues, à bousculer les systèmes économiques en fin de vie, à redynamiser des valeurs perdues, pour ranimer ce qu'il y a de plus noble en l'humanité : sa propension à l'empathie et à l'altruisme.
Né le 25 septembre 1955, en Picardie, l'auteur s'installe à Strasbourg en 1978. D'abord étudiant en droit puis spécialiste du commerce d'antiquités, il devient développeur de projets hôteliers. Dès l'âge de vingt-cinq ans, il parcourt ainsi l'Europe, le Moyen-Orient et l'Afrique pour le compte d'un grand groupe. Depuis cinq ans, il exerce cette activité en indépendant, essentiellement sur le sol africain.
CESALLI SEVERINE - Le déni qui tue - Ou comment penser l'impensable
En se basant sur six récits inspirés de sa pratique pédopsychiatrique suivis d’éclairages théoriques, Séverine Cesalli vous propose de plonger sans jugement dans ce monde intrapsychique où dénis et réalités internes et externes s’entrechoquent pour le meilleur et pour le pire, en abordant différents types de dénis tels que le déni climatique, l’inceste, la maladie et bien d’autres.
Pourquoi fait-on du déni ? Notre perception de la réalité est beaucoup plus influencée que nous ne le pensons par nos désirs, nos besoins et nos craintes. Le déni au sens psychanalytique est une défense de nature psychotique, un rempart utile pour permettre à la majeure partie du psychisme de continuer de fonctionner, mais au prix d’un clivage d’une partie de la réalité et d’une partie de nous-même, ce qui peut s’avérer destructeur. Dans le langage usuel, en revanche, le déni renvoie à toute une gamme de défenses variées.
Que faire face au déni ? Avec une meilleure connexion à nous-mêmes et aux autres, avec une meilleure compréhension des processus qui mènent au déni, il est possible de mieux faire face à la réalité et de trouver plus de bien-être, de souveraineté et de liberté intérieure.
De même, face aux difficultés à venir pour l’humanité, plutôt que privilégier les défenses faciles du déni et de l’évitement, une meilleure adaptation à la réalité nous aide à penser ce qui nous paraissait impensable, à nous y préparer, à améliorer notre maturité collective ainsi que notre résilience… et qui sait, peut-être même à modifier positivement la trajectoire de l’humanité ?
VILPELLET FRANCOISE - Errance
À ceux qui restent et à ceux qui se taisent dans la maladie, je dédie ces quelques textes.
Je largue les amarres et me laisse porter par la vie.