Êtes-vous prêts à explorer les mystères de l’Univers avant même sa naissance ?
Avec cet ouvrage, Michel MUNOZ nous emmène dans le monde imaginaire de l’écume quantique des pulses primordiaux pour nous offrir une nouvelle approche de l’ère des pulses, cette période qui précède l’apparition de l’Univers tel que nous le connaissons aujourd’hui.
Au-delà de la simple curiosité scientifique, il aborde des questions essentielles sur l’origine de l’Univers, la vitesse des neutrinos, la naissance de l’espace et du temps, ainsi que la limite à laquelle nous pouvons remonter dans le passé. Est également proposée une réflexion sur la fameuse Transformée Mathématique en Z (TMZ), qui pourrait permettre l’unification de toutes les forces de l’Univers.
Avec une approche originale et novatrice, Michel MUNOZ nous invite à un voyage fascinant dans les profondeurs de l’univers et de l’esprit humain.

Ce doux recueil de poèmes représente tous les voyages de ma vie et tous les chemins qui m’ont conduit jusqu’ici. En rendant hommage à l’Univers pour tous les moments de bonheur simple qu’il nous offre, j’espère réussir à vous offrir, le temps d’une lecture, un moment suspendu dans une paisible sérénité.

Il est dit que lorsqu’une forêt pousse, elle ne fait aucun bruit. Il en est de même de nous tous qui, en aimant, anonymes et silencieusement affairés, portons le monde.
Ainsi les actes les plus anodins, ceux les moins valorisés, les plus anonymes et portés en silence devant les défis journaliers, sont là tout ce qui élève le monde. Si les actes de simple bon sens n’avaient pas lieu aux étendues de par le monde, celui-ci serait en proie d’un destin plus funeste qu’on ne lui connaît, l’obscurité actuelle. Sans quoi nous ne serions là à pousser plus avant le prélude des nobles luttes remportées de nos ancêtres, le libre rêve de voir l’homme investir sa condition fraternelle.
Car oui, tous nous portons le monde ! Il est de notre responsabilité de le rendre à la juste mesure de ce que nous sommes capables de fournir. Et nous ne saurions imaginer jusqu’à quel état de gloire l’humanité serait si chacun de nous en venait à l’entraide, la réciprocité, la reliance les premières assises nouvellement bâties sur les ruines décadentes de ce monde désormais ancien. Et quand bien même, lorsque dans le brasier de celui-ci, l’on ne peut s’exprimer convenablement, ce n’est alors que lorsqu’en exil, en recul de celui-ci que nous pouvons nous faire comprendre, d’où on puisse véritablement s’entendre, lorsque reposés sont les esprits.
Si nous sommes en conflit, je t’en prie, allons ensemble en cet exil jusqu’à renouer d’avec la paix ! Afin, qu’à nouveau, l’on puisse se voir comme frères et qu’ensemble, sur l’ancien, les ruines nous donnent de rebâtir ce monde.