Le 5 décembre 1945, lors d’un vol d’entraînement sur la côte est de la Floride, l’escadrille 19 de la marine américaine dirigée par Charles Caroll Taylor disparaît au-dessus du triangle des Bermudes. Les cinq avions disparaissent sans laisser de traces et malgré de nombreuses recherches, aucune épave ni aucun débris ne sont retrouvés, jusqu’au jour où le pilote refait surface. Que s’est-il passé ?

Ces choses-là arrivent tout le temps et elles n'épargnent personne ou presque. Quand elles vous tombent dessus, il y a toujours quelqu'un pour vous dire que « ça va aller », réduisant la bombe qui vient d'exploser dans votre tête et dans votre vie au plus banal pet de mouche censé se disperser très vite dans l'atmosphère.
Pour Gerda et Sophie, le pet de mouche équivaut à un tas de purin pestilentiel déversé devant leur porte. La porte de leur foyer, celui qu'elles croyaient à l'abri de tout. La tentation est grande de simplement jeter une bâche sur l'indésirable et de faire comme si de rien n'était. Mais que faire quand il y en a qui s'obstinent à l'enlever, bien contre votre gré, dès que vous avez le dos tourné ? Les deux héroines décideront finalement de prendre la fourche !
Elles suivaient des chemins parallèles qui n'auraient jamais du se croiser, sinon à l'infini. Mais le hasard se rit des évidences et des plans bien ficelés. Au pire, il les réduit à néant, au mieux il les bouscule, un peu comme un chat joue avec une souris.
De la guerre des sentiments à la découverte de soi, ce roman parle d'amour, d'amitié, de trahison, de résilience et de liberté.
Née en 1966, Celice Bauchamps est Belge, mère de deux enfants et consultante en communication.
Elle publie aujourd'hui son tout premier roman.

Le langage évolue, les mots changent. Ce qui était appelé « La communale » autrefois, est aujourd’hui appelé « groupe scolaire ». Il n’y a qu’à tourner le regard pour se rendre compte que les bâtiments ont eux aussi changé. Au fronton de la mairie, l’inscription – MAIRIE – ÉCOLE des GARÇONS – paraît aujourd’hui hors du temps. L’école des filles a elle aussi disparu. Pourtant, sa construction donna des sueurs froides au conseil municipal de l’époque. Aujourd’hui, filles et garçons partagent les mêmes classes, la même cour de récréation. Ce ne fut pas toujours le cas.
L’auteur s’est alors posé la question de savoir si l’enseignement et les matières enseignées avaient avec le temps, évolué comme les édifices. La réponse est là au fil des pages.
De la révolution à nos jours, qui sont ces hommes et ces femmes à qui plusieurs générations de parents ont confié non pas l’éducation mais l’instruction de leurs enfants ?