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BURIN DES ROZIERS INES - La puissance de Marie qui défait les nœuds dans ma vie
Dans ce témoignage, Inès Burin des Roziers nous raconte comment toutes ses blessures transgénérationnelles ont été dénouées par Marie. Elle nous partage les difficultés de sa vie familiale avec ses enfants qui la poussent à lâcher prise et à s’en remettre à l’action divine en totale confiance et gratitude.
Un témoignage de vie et d’espérance pour tous.
SHE YI TZU - Le Manifeste du Révisionnisme
Comme le disait Winston Churchill, « un peuple qui oublie son passé se condamne à le revivre ». À cette citation, il faudrait ajouter : « encore faut-il avoir une vision d'avenir ».
En cette deuxième décennie du XXIe siècle, nous sortons à peine d'une pandémie mondiale que la guerre en Ukraine nous rappelle déjà à l'ordre.
Nous vivons une période troublée et les prochaines années risquent d'être difficiles.
Le Manifeste du Révisionnisme vous livre une rétrospective des années qui ont enflammé le XIXe et le XXe siècle afin de se souvenir de ce qui a provoqué les évènements majeurs qui ont secoué le monde.
BOUILLON ANNE-NATACHA - La femme balafrée
« Elle est belle votre cicatrice. »
Non, non et NON. Une cicatrice n’est pas belle. Une fleur est belle. Des jambes sont belles. Une perle, une pierre sont belles. Une pensée peut être belle, une attention aussi, un paysage, un coucher de soleil, une simple journée, mais pas une cicatrice. Une cicatrice peut sembler fine, nette, plate, mais pas belle. Ce n’est pas quelque chose qu’on met dans un vase puis qu’on hume, qu’on admire et qu’on regarde s’épanouir. Une cicatrice ça défigure. Sauf que celle-là n’est pas sur le visage. Alors on dit quoi ? Elle dénature ? Elle balafre ? Elle dé-je-ne-sais-quoi ? Ne dites jamais à une femme balafrée que sa crevasse qui rature la peau est belle.
La première empreinte est la preuve de la naissance : le nombril.
Puis au fil des années, des accidents, des maux, les balafres se multiplient sur tout le corps. Ces marques qui souffrent, qui s’incrustent, qui nous éprouvent, qui interrogent. Toutes ces cicatrices pourraient nous transformer en pantin. Mais non, encore NON. Il reste la tête, Alouette, pour écrire, décrire ses souffrances et ses souvenirs.