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GERMAIN YVES - Enfant tumeur
Quelque part, non loin de la Nationale 13, entre Cherbourg et Bayeux, dans un petit bourg de quelques centaines d’âmes, Réjane, Jean et leur fils Olivier âgé de six ans, vivent dans une ancienne grande ferme rénovée, devenue l’étude de Maître Villedieu, le père de Réjane. Cette dernière profite d’une belle journée d’été pour se livrer à une profonde introspection, véritable face-à-face avec elle-même, sans concession. L’enfance et ses croyances, les rêves d’adolescence jusqu’à ses désillusions d’adulte, tout est passé au crible. Elle a grandi auprès d’un père autoritaire et très présent alors que Jean, plutôt falot comme époux, éprouve bien des difficultés à assumer son rôle de père.
Au final, le bilan est amer, et le quotidien bien difficile avec son fils autiste la rattrape…
Que vont-ils devenir ?
DROUGBA HENOC - Comment rater sa vie... pratiquement
Si toutes les histoires ont tendance à avoir un début et une fin, celle-ci vous accrochera tout au long d'une histoire on ne peut plus banale. On raconte ici l'histoire d'un enfant, qui en grandissant fait face à tous les aléas de la vie. De la manière la plus commune possible. Il est même possible que vous vous y retrouviez. C'est un enfant qui cherche avant tout à répondre à une question :
Qu'y a-t-il après la mort ?
C'est à travers cette question que l'enfant vivra, grandira. C'est le thème qui sera parcouru à travers ses épreuves du quotidien. Il passera par toutes les étapes : les jeux à l'enfance, les premières fois à l'adolescence, les frayeurs de l'âge adulte. Tous ces souvenirs, l'ont formé, forgé, modelé. Il continuera de grandir même après. Ce qui le caractérisait le plus, c'était son obsession pour la mort.
Avec le temps, il finit par avoir la réponse.
Ce qui avait autrefois été une question, un sujet de conversation, un thème, fini par devenir le résultat d'un vécu. L'enfant, qui a bien grandi depuis, l'a compris. Ce résultat, il l'avait trouvé déjà.
Il aimait les sciences exactes. Il avait toujours un avis clair sur chaque chose. Il avait aussi un profond amour pour Dieu. C'est une contradiction qui ne peut être comprise qu'en étant soi-même le produit de celle-ci.
En cherchant la réponse, cet enfant avait oublié l'essentiel. La réponse se trouvait déjà dans la question.
Finalement n'est-elle pas la mort elle-même ?
Âgé de trente ans, Henoc Drougba est un jeune homme de la banlieue parisienne. Produit de la diversité des années 90, il a grandi entre Paris et Villiers-sur-Marne. Bercé par la musique en particulier, ce passionné de pop culture est passé par toutes les tendances de son époque. Il écrit beaucoup à l'adolescence. Avec le temps, il revient à ses premiers amours?: les mots, les textes... Celui qui écrivait beaucoup de poèmes, écrit aujourd'hui des livres.
SIMARD JEAN-MARC - La logique créatrice de l'amour divin - Tome 2
Deux grands paradigmes président les explications et la compréhension de l’existence de l’univers et de l’apparition de la vie : le matérialisme et le spiritualisme.
Les sciences biophysiques et astronomiques actuelles utilisent surtout l’approche matérialiste pour expliquer et comprendre l’existence de tout. Pour elle, la conscience ne serait qu’un produit dérivé de la matière, sous l’influence du hasard et de la nécessité. L’approche spiritualiste, quant à elle, stipule plutôt que c’est la matière qui est le produit de la conscience. Pour elle, la matière vivante ne serait qu’une manifestation différente de la vie spirituelle dont la dynamique évolutive serait régie par l’Amour-énergie.
Trop influencée par l’approche matérialiste, la science actuelle est incapable d’apporter des réponses satisfaisantes au sens de la vie.
D’inspiration spiritualiste, l’auteur propose, avec cet essai de synthèse philosophique, théologique et scientifique qui réinterprète les diverses données scientifiques sur la création de l’univers à partir du Big-Bang, une lecture différente des événements. Pour lui, le Big Bang ne serait pas le résultat d’une explosion comme le pensent les astrophysiciens mais de l’éclosion d’une graine cosmique, appelée « singularité initiale » ou atome primitif, réalisée par un Dieu en mal d’Amour.