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Mélitza - Comme des robots
Violette, alors âgée de 31 ans, vient de perdre sa mère, Macha. Elle hérite d'une quantité astronomique de journaux intimes qu'elle ne veut pas parcourir, rejetant complètement les idées de sa mère. Au même moment, sa vie professionnelle débloque et on l'invite à fabriquer des robots sexuels destinés à des clientes très sélectes. Par pur hasard, ses premiers contrats exigent d'elle une recherche sur des personnages de cinéma qui ont plu à sa mère. C'est d'abord pour comprendre le désir envers ces icônes obscures qu'elle commencera la lecture des journaux de Macha.
Au fur et à mesure de ses lectures, elle se rapproche de sa mère au point de souhaiter transplanter ses écrits dans une conscience artificielle. Son activité est toutefois illégale et ses patrons américains vont découvrir ses plans. Leur réaction et celle de Violette changeront le destin des deux femmes à tout jamais.
Mélitza est doctorante en lettres françaises à l'Université d'Ottawa ou elle rédige une thèse en création littéraire portant sur les assignations sociales liées particulièrement au corps des femmes dans la littérature contemporaine française. Pendant ses études, elle enseigne le français au Collège La Cité, à Ottawa et au Cégep de Rimouski. Elle publie régulièrement ses recherches sur l'assignation sociale ainsi que des oeuvres de fiction en revue, en France et au Québec.
MABWAKA MEDARD - Du Congo-Brazzaville à la Suède - Histoire d'un migrant
Du Congo-Brazzaville à la Suède - Histoire d'un migrant raconte le parcours d'un réfugié politique. L'auteur raconte son histoire à la suite de près d'une dizaine d'années d'incarcération au Congo.
Medard Mabwaka Egbonde est né le 12 décembre 1959 à Bosukwele dans la Collectivité de Ndolo-Liboko, commune de Budjala district du Sud-Ubangi, dans la province de l'Équateur. Il est diplômé en Théologie de l'Université Simon Kimbangu à Kinshasa en République démocratique du Congo.
LE BOURGEOIS LUISA - Ça va aller Maman
D’abord se posent toujours les questions.
Arriverai-je à dire ? À tout dire ? Avec quels mots ? En creusant quels silences ? En bravant quels interdits ?
Et les autres, arriveront-ils à comprendre ? Pourront-ils entendre ?
Du moins arriverai-je à me faire entendre, à défaut de réussir à révéler la face cachée de l’âme ?
Et, surtout, la parole sera-t-elle bénéfique ? Pourra-t-elle, à défaut de guérir, aider à mieux tolérer ?