Joomsy, enfant de la génération connectée, décide d'entamer sa vie d'ado hyper connecté, son portable scotché à la main.
Pour sa mère, il y a urgence, il faut lui délivrer un message.
Entre le divorce de ses parents, et les tristes aléas du quotidien, au moment de l'adolescence ce fils glisse dans les abimes du non-but, du non-sens à sa vie. Cette mère, femme avant tout, subit le retour de bâton colossal à la suite des changements causés par son nouveau choix de vie. Elle est proche du précipice et prête à sombrer, mais elle réagit, pour lui.
C'est en décidant de l'aider qu'elle se redécouvre et amorce - non sans patience, amour et courage - une forme de guérison, un retour aux sources, dont elle n'en avait que faire jusqu'à présent.
Ce livre, inspiré de faits réels, est un message d'amour pour son enfant, mais aussi de croissance et de développement personnel, de compréhension, de compassion pour chacun. Une reconnexion au sens de la vie.
L'auteure, d'origine réunionnaise et vietnamienne, à l'esprit cartésien perdu dans une intelligence émotionnelle maltraitée, décide de partager son expérience après des années au contact de l'humain. Elle signe ici son premier ouvrage.

Jan Vermeersch, rencontré par hasard à Miami, demande de faire publier un manuscrit dans lequel il raconte une année d’apprentissage à Bruxelles, dans les années septante. Jan cherche sa voie pour échapper à une existence convenue d’avance. Seule consolation, une quatre pattes 500 Honda.
La rencontre, à Francorchamps, avec une bande de motards, les Rockers, plutôt musclés et guidés par un moustachu appelé le Corbeau, va changer sa vision du quotidien.
Jan vivra des bagarres, des bourres à moto et des moments de vraie tendresse, surtout lorsque ce petit monde se retrouve dans leur bistrot attitré, le café Le Monico, en partageant une bière ou un vin blanc.
Il restera fasciné par la force du Corbeau sauvant la vie et la réputation d’une petite comtesse hongroise dévoyée à la Gare du Nord. Avec les Rockers, il va partager des vraies valeurs de vie, à l’inverse de celles de la bande adverse. Pas à pas, il suit l’évolution de la bande des Rockers au travers de leurs luttes, de leurs sorties débridées, des premières tentatives sur les circuits de course, jusqu’au moment où il décide de quitter la Belgique…

Las... la nostalgie du monde nouveau, les poèmes sont des draps qui voilent mes nuits et entretiennent mes jours. [...]
Les mots pour les maux, la joute est verbale,
et les balles fusent dans tous les carrefours de la ville.
Ça fume, ça boit pour se sentir vivre.
Les questions demeurent et les réponses attendent
que nous voulions bien ouvrir les yeux.
Là, dans le décor planté, subsistent mes rêves d'humanité [...].
[...] le regard que dit-il, si ce n'est que l'espoir et la foi se sentent souvent si troublés par l'outre-monde, rien ne dure
et pourtant depuis longtemps je t'attends.
La colère est saine et la joie l'est d'autant plus,
la tristesse sans fond et le triomphe sans sommet.
Le voile de nos illusions, et le savoir indélébile.
Une gestation de la grande roue...
[...] l'invisible visible aux yeux du coeur,
mille et une façons de retourner à notre demeure.
[...]
un mètre soixante-dix de rêves,
soixante-cinq kilos de drame,
malade imaginaire de vingt-neuf piges,
car aucun mot ne peut définir un être.