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Maurice ANDRE - Salut les grenouilles
Dites-moi, vous qui lisez cette quatrième de couverture, avez-vous donné le coup de patte nécessaire pour sortir du bocal ? Si oui, bravo ! Vous êtes conscient, mais vous souffrez certainement d’un grand sentiment de solitude et d’incompréhension sur ce qui s’est passé. Alors rassurez-vous, vous n’êtes pas le seul. Si c’est non, il est encore temps, car attention, le gaz chauffe toujours le bocal…
VAN DER STRATEN WAILLET GEORGES - Je te dis non... car je t'aime - Éduquer face aux drogues et aux dépendances
En s'appuyant sur son expérience personnelle et professionnelle en tant que directeur de communauté thérapeutique pour toxicomanes, Georges VAN DER STRATEN WAILLET nous livre ici les secrets de l'apprentissage des compétences de la vie courante, les « life skills ».
L'éducation est à la base de tout. L'éducation familiale constitue la clé de voute de toute politique radicale de prévention, non seulement pour la prévention des drogues, mais pas que. En effet, les outils de réflexions et d'actions enseignés pour la prévention des drogues peuvent être aisément transposés à beaucoup d'autres situations difficiles tant sur le plan professionnel que familial : adolescents irrespectueux, dépressifs ou violents, manipulations, abus d'alcool, rupture du dialogue, boulimie, prostitution etc.
L'éducation aux « life skills » est le fil rouge et le principal levier psychopédagogique en communauté thérapeutique, à l'école et en famille.
Fondateur et directeur de plusieurs communautés thérapeutiques pour toxicomanes, Georges van der STRATEN WAILLET a passé quarante ans de sa carrière à agir, à réfléchir et à échanger sur les pratiques concernant la prévention des assuétudes et le rétablissement des personnes toxicomanes. Il en tire des enseignements sur le rôle central de l'apprentissage des « life skills », les aptitudes essentielles pour savoir vivre ensemble.
CHALA MESSAOUD - J'avais six ans le 1er Novembre 1954
Témoin de terribles événements, l'auteur, un jeune Kabyle âgé de six ans le 1er novembre 1954, révèle les atrocités d'une guerre oubliée. Ainsi ce livre dénonce-t-il l'instauration du Code de l'indigénat dès l'occupation de l'Algérie par la France en 1830. Ce Code était même une forme déguisée de l'esclavage, vu que les indigènes n'avaient pas les mêmes droits que les colons !
Ce roman jette aussi l'opprobre sur la politique du gouvernement (socialiste) en place au début du conflit - Pouvoirs spéciaux accordés à l'armée française en février 1956, institutionnalisation de la torture à la suite de la bataille d'Alger en 1957... - et condamne l'atrocité des fellagas vis-à-vis des indigènes instruits et favorables aux Français...
Enfin, ce récit vilipende la dictature mise en place par le FLN dès le début de l'indépendance, et le racisme brulant de ce parti unique, à l'encontre de la communauté berbère, qui était la seule à s'opposer à leur politique...
Un ouvrage bouleversant, lié aux heures les plus sombres de l'Histoire.
Fils d'un instituteur de l'école publique de l'Algérie française, l'auteur commence son cursus scolaire en Grande Kabylie, et l'achèvera à l'université de Censier, à Paris.
Professeur certifié - hors classe - de lettres modernes, il raconte ici les moments forts de la guerre d'Algérie, qu'il a vécus, enfant...