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LAOUF RENEE - Amour Arch'
La liberté d’écriture n’est que son de notre âme dont les bornes et les règles n’ont lieu d’être qu’en prison. J’abolis les mesures des écrits poétiques car limites de ma vie ne survivent que dans l’air.
Cette légère fluidité ou forte complexité sont inspirées d’embûches de chutes et remontées celles que ma vie m’offrit comme un don de merveilles celle qui souffre en ce cœur, aux pieds durs de ces fleurs.
Ces écrits ne sont donc qu’une chaîne éternelle de maillons du passé parcourant son futur. Le chemin fut parfois des plus rudes et pénibles, ce qui fait que les mots, notes et sons sont brisés. Mais les pointes de gaieté qui m’ont toujours suivie se dénotent en toutes pages, illuminent l’esprit.
Faites que de ce merdier pousse une belle… orchidée !
Samedi 27 mars 2004
CAPET CATHERINE - Le petit paradis d'Alix
Alix, jeune experte-comptable dans une agence d'intérim, rencontre Thibault, son futur mari, lors d'une mission dans une société à Châtou.
Quelques années plus tard, mariée et mère de deux enfants, Alix craque. Elle n'en peut plus de cette vie stressante. Avec Thibault, ils décident alors de quitter la banlieue parisienne et se mettent en quête de trouver un petit paradis dans le Sud-Ouest.
Après quelques années infructueuses, la chance leur sourit. Alice va enfin pouvoir vivre sereinement avec toute sa petite famille.
Débute alors une nouvelle vie faite de nouvelles rencontres, mais ce « paradis » tant espéré ne deviendra-t-il pas son enfer ?
Catherine CAPET est née en 1963 dans le Nord-Pas-de-Calais. Secrétaire de formation, elle fait toute sa carrière à Paris dans le domaine ferroviaire. Lorsqu'elle prend sa retraite, elle s'installe en Corrèze ou elle réside encore. Cette retraitée atypique toujours en quête de nouvelles expériences publie aujourd'hui son premier roman.
Pierre-de-Versailles - Olivier Le Jeune, l'enfant esclave
Il était une fois, là où les dieux sont aussi nombreux que les collines aux cimes brumeuses visibles à peine à l’horizon… un enfant… apatride et anonyme.
Ainsi débute l’histoire méconnue de celui qui est reconnu dans les archives de la Nouvelle-France comme Olivier Le Jeune, l’enfant esclave, le tout premier de cette lignée. Arraché aux siens à l’âge de six ans par Sir David Kirke, un négrier anglais, il connaîtra trois vies : la vie de slave boy, la vie de petit nègre et la vie d’Olivier Le Jeune, son nom de baptême.
À travers ses vies, il aura tout vu et tout entendu sur les complots et conflits des colons en rivalités féroces pour la conquête des territoires amérindiens de la Vallée du Saint-Laurent.
Olivier Le Jeune meurt en 1654 en laissant ce témoignage de faits historiques notoires.